Le parti n'a jamais été représenté au sein de la Chambre des députés tchèque. La plupart des cadres du parti ont été associés à des groupes néonazis comme Národní odpor, la branche tchèque de l'organisation Combat 18[8],[9]. En 2009, une pétition demandant l'interdiction du parti est rejetée par la Cour suprême[10] au motif que l'initiateur de la pétition, en l’occurrence le gouvernement, n'aurait pas fourni assez de preuves[11],[12]. À la suite de violences commises contre des minorités par des militants d'extrême droite (notamment à Vítkov dans la nuit du 18 au 19 avril 2009(en)), le gouvernement relance une pétition plus détaillée. Cette dernière est étudiée à partir de par la Cour suprême qui, finalement, prononce l'interdiction du parti[13]. Le parti n'a pas disparu mais a simplement changé de nom. Il s'est d'abord renommé Parti des citoyens de la République tchèque[14] avant d'opter pour Parti ouvrier de la justice sociale (en tchèqueDělnická strana sociální spravedlnosti, DSSS)[2].