Élu député du Pirée sur la liste SYRIZA en , il n'est pas opposé à une sortie de la Grèce de la zone euro[1], il est le porte-parole du Courant de gauche au sein de SYRIZA[2].
Le , il est nommé ministre de la Restructuration de la production, de l’Environnement et de l’Énergie dans le gouvernement Tsípras I.
Opposé à l'accord passé entre le gouvernement Tsípras I et l'Union européenne sur une nouvelle aide de 86 milliards d'euros sur trois ans, en échange de nouvelles mesures d'austérité, il fait partie des fondateurs du nouveau parti Unité populaire créé le et en devient son leader.
Le , peu après la démission d'Aléxis Tsípras et l'échec de la formation d'une coalition par Evángelos Meïmarákis, il est chargé par le président de la République de tenter de former un gouvernement[3], mais y échoue trois jours plus tard[4].