En 1995, une travailleuse missionnaire de l’Immaculée recueille une petite fille en difficulté. La nouvelle fait le tour des villages environnants et les nécessiteux accourent[1]. La Communauté des Travailleuses missionnaires de l'Immaculée décide de fonder l'association Les Voies de l'Espérance (AVE) pour formaliser sa démarche et mieux structurer ses projets.
Le département de Loumbila (province d'Oubritenga) octroie un terrain de quatorze hectares à l'Association Les Voies de l'Espérance, qui y édifie, avec l'aide de partenaires, les premiers locaux de l'orphelinat.
Aujourd'hui[Quand ?], une équipe de cinq Travailleuses missionnaires de l'Immaculée dirige l'orphelinat.
Réalisations
De 1995 à 2012, l'orphelinat a accueilli en son sein environ quatre cents enfants[1]. Chaque année, les pensionnaires sont un peu moins de la centaine, contre deux cents (200) externes, enfants qui sont pris en charge directement dans leurs familles.
L'orphelinat dispose des infrastructures suivantes :
des dortoirs,
un réfectoire,
une école maternelle[1] et primaire (ouverte aux enfants du village),
un dispensaire (accessible par les habitants des alentours),