"Vincent Dieutre, cinéaste grand lecteur lit devant nous, et c’est un premier geste salvateur : il lit La Survivance des lucioles de Georges Didi-Huberman (Minuit), ou La Révolte de Pierandrea Amato (Lignes). Et deuxième geste salvateur, il s’émerveille (et sa caméra restitue pour nous cet émerveillement et nous émerveille à notre tour) : il s’émerveille d’un spectacle de marionnettes, les Pupi, jusqu’à inventer pour elles un nouveau texte, un Orlando ferito, Roland blessé, variation inédite de l’Arioste, écrite avec Camille de Toledo[1]."
Pour Pascale Fautrier, de Mediapart, le film est « magnifique de beauté et d'urgence : quand cessera notre assentiment complice à la catastrophe politique annoncée par Pasolini avant son assassinat ? »[1].