Lors de la bataille du pont d'Arcole, du 15 au , l'armée française d'Italie commandée par le général Napoléon Bonaparte remporte la victoire sur les forces autrichiennes dirigées par le général Josef Alvinczy. Alors que les Autrichiens tentent pour la troisième fois de lever le siège de Mantoue, Alvinczy repousse une première fois Bonaparte à Bassano le , puis une seconde fois à Caldiero le 12. Le corps du Tyrol aux ordres de Davidovitch progresse de son côté face à la division française du général Vaubois qui est battu les 6 et à Calliano et le 17 à Rivoli. Toutefois, la victoire de Bonaparte à Arcole change la donne et oblige Davidovitch, vaincu à son tour à Rivoli le , à se réfugier dans les montagnes du nord.
↑Boycott-Brown 2001, p. 444. L'auteur cite Quasdanovich pour chef de corps. Le cumul des effectifs des unités sous ses ordres forme un total de 26 432 hommes qui, en ajoutant les renforts, atteint le total définitif de 28 699 hommes sans cependant inclure Mittrowsky.
↑Fiebeger 1911, p. 62. L'auteur donne Provera comme chef de corps et liste également les différentes brigades, mais sans les effectifs.
↑Boycott-Brown 2001, p. 447 et 458. La brigade Mittrowsky, chargée de surveiller la vallée de la Brenta, ne rallie les troupes de Quasdanovich que plus tard dans la campagne ; son effectif n'est donc pas compté dans celui du corps de Frioul.
↑Boycott-Brown 2001, p. 447. L'auteur donne l'organisation et les effectifs du corps.