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Un opérateur de soustraction est présent dans les écrits de Diophante sous la forme d'un « ψ » (psi) inversé. Les signes « + » et « − » (plus et moins) sont employés pour les opérateurs de l'addition et de la soustraction dès la fin du XVe siècle. L'opérateur de la multiplication est passé du « M » de Michael Stifel à in chez François Viète (ou il agit pour la première fois entre deux lettres), puis à la croix chez William Oughtred ; le point étant introduit par Leibniz. L'opérateur de division « ÷ » provient de Johann Heinrich Rahn, la version sans barre horizontale « : » étant de Leibniz également. Le signe radical « √ », opérateur de la racine carrée, est dû à Léonard de Pise.
En théorie des ensembles, les opérateurs d'union et d'intersection étaient d'abord notés comme ceux de l'addition et de la multiplication, avant d'être remplacés par les symboles « ∪ » et « ∩ » de Peano, un temps concurrencés par « ∨ » et « ∧ ».
Notes et références
« Notation mathématique », Dictionnaire des Mathématiques, fondements, probabilités, applications, Encyclopædia Universalis et Albin Michel, Paris 1998.