Ce groupe avait des préoccupations plus humanitaires qu'idéologiques et se composait surtout de journalistes, de médecins et d'intellectuels. Il s'est formé durant l'hiver 1938 autour de Ruth Andreas-Friedrich, mère de l'écrivaine Karin Friedrich qui vit aujourd'hui à Berlin, et du chef d'orchestre Leo Borchard[2].
Les membres procuraient aux juifs poursuivis des cachettes, de la nourriture et des papiers. Ils s'occupaient aussi des familles des prisonniers politiques et diffusaient les publications de La Rose blanche[3].
Protest und Menschlichkeit. Die Widerstandsgruppe "Onkel Emil" im Nationalsozialismus: Die Widerstandsgruppe »Onkel Emil« im Nationalsozialismus. Wolfgang Benz, éd. Reclam Philipp Jun, 2020, (ISBN9783150112588) (de)