Le texte ne doit pas être écrit en capitales (les noms de famille non plus), ni en gras, ni en italique, ni en « petit »…
Le gras n'est utilisé que pour surligner le titre de l'article dans l'introduction, une seule fois.
L'italique est rarement utilisé : mots en langue étrangère, titres d'œuvres, noms de bateaux, etc.
Les citations ne sont pas en italique mais en corps de texte normal. Elles sont entourées par des guillemets français : « et ».
Les listes à puces sont à éviter, des paragraphes rédigés étant largement préférés. Les tableaux sont à réserver à la présentation de données structurées (résultats, etc.).
Les appels de note de bas de page (petits chiffres en exposant, introduits par l'outil « Source ») sont à placer entre la fin de phrase et le point final[comme ça].
Les liens internes (vers d'autres articles de Wikipédia) sont à choisir avec parcimonie. Créez des liens vers des articles approfondissant le sujet. Les termes génériques sans rapport avec le sujet sont à éviter, ainsi que les répétitions de liens vers un même terme.
Les liens externes sont à placer uniquement dans une section « Liens externes », à la fin de l'article. Ces liens sont à choisir avec parcimonie suivant les règles définies. Si un lien sert de source à l'article, son insertion dans le texte est à faire par les notes de bas de page.
Ola Gjeilo est né le et a grandi à Bærum en Norvège. Il a commencé à jouer du piano et à composer quand il avait cinq ans et à lire la musique quand il en avait sept[2]. Gjeilo a étudié la composition avec Wolfgang Plagge[2].
Dans sa carrière de premier cycle, Gjeilo a étudié à l'Académie norvégienne de musique (1999-2001) puis à la Juilliard School (2001) et au Royal College of Music de Londres (2002-2004) où il a obtenu un l'équivalent du baccalauréat en composition[3]. Il a poursuivi sa formation à Juilliard (2004-06) où il a obtenu sa maîtrise en 2006, toujours en composition. De 2009 à 2010, Gjeilo a été compositeur en résidence pour Phoenix Chorale[2], et chez Voces8 en 2016[4].
Ola Gjeilo contribue au renouveau de la musique chorale sacrée au même titre que l'Américain Eric Whitacre, du Letton Ēriks Ešenvalds ou de l'Estonien Arvo Pärt. Les compositions d’Ola Gjeilo sont au répertoire des chœurs professionnels ou d’amateurs de bon niveau aux États-Unis, au Royaume-Uni, en Allemagne et depuis quelques années en France.
Dreamweaver pour chœur, piano et orchestre à cordes. Le texte est tiré d'une ballade médiévale populaire de Norvège, Draumkvedet, traduite en anglais par Charles Anthony Silvestri, avec qui il collabore régulièrement[6]
The River pour chœur, piano et quatuor à cordes. Œuvre composée pour le prix 2016 de la Commission Brock, décerné par l'American Choral Directors Association[7],[8],[9]
Serenity (O Magnum mysterium) pour chœur mixte (SATB) et violon ou violoncelle
↑Papania, Christine, “Ola Gjeilo: Sunrise Mass and World Premiere of Dreamweaver at Carnegie Hall,” ChoralNet: American Choral Directors Association, 2014, accessed October 3, 2014, http://archive.choralnet.org/view/438986.