En 1947, on notait que « l'épaisseur de la terre végétale à Ochancourt est de 20 à 40 centimètres. Souvent, on trouve environ un mètre d'argile mêlée aux cailloux : du bief. Jusqu'à la nappe d'eau s'étend généralement de la craie. Cependant, au Mesniel, un terrassier nous a assuré qu'il y avait moins de terre végétale et moins d'argile[7].»
Une voûte souterraine dont l'entrée est sculptée dans la craie se situe dans un pré. On évoque la possibilité de la présence de souterrains dans le sous-sol communal.
« L'endroit le moins élevé du territoire se trouve à l'entrée sud du bois d'Arrest[7]. »
Dans les années 1940, « Ochancourt possèdait un « rio », fossé d'un mètre de large qui sert « d'égout » avec la mare aux ruisseaux de la commune. Il prend naissance à 40 m. du carrefour, au plus bas de la rue de Franleu et mène son eau dans une mare située en bordure du bois d'Arrest.
Lorsque cette mare déborde, l'eau s'écoule à travers le bois dans l'allée du fond pour aller se perdre dans un pré à un kilomètre du sous-affluent de la Somme : l'Avalasse, qui passe à Arrest et rejoint l'Amboise à Estrébœuf[7]. »
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,5 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 12,9 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 857 mm, avec 12,5 jours de précipitations en janvier et 8,5 jours en juillet[8]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Cayeux-sur-Mer à 12 km à vol d'oiseau[10], est de 11,4 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 761,1 mm[11],[12]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[13].
Urbanisme
Typologie
Au , Ochancourt est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[14].
Elle est située hors unité urbaine[I 1]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Friville-Escarbotin, dont elle est une commune de la couronne[Note 2],[I 1]. Cette aire, qui regroupe 33 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[15],[16].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnéeseuropéenne d'occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (91,7 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (91,7 %).
La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (77,5 %), prairies (14,2 %), zones urbanisées (8,2 %), forêts (0,1 %)[17].
L'évolution de l'occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].
Lieux-dits, hameaux et écarts
Le Mesnielle, autrefois un écart relevant de la paroisse de Franleu, est aujourd'hui aggloméré à Ochancourt.
Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Ochancourt en 2021 en comparaison avec celle de la Somme et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (11,2 %) supérieure à celle du département (8,4 %) et à celle de la France entière (9,7 %).
Résidences secondaires et logements occasionnels (en %)
11,2
8,4
9,7
Logements vacants (en %)
7,5
8,5
8,1
Voies de communication et transports
Située sur le fertile plateau du Vimeu, la localité a vu ses habitations s'organiser autour de deux axes perpendiculaires principaux : la route départementale (RD 48), nord-sud, et l'axe Nibas-Franleu, est-ouest.
En 2019, la localité est desservie par la ligne d'autocars no 5 (Cayeux - Friville-Escarbotin - Abbeville) du réseau Trans'80, Hauts-de-France, chaque jour de la semaine sauf le dimanche et les jours fériés[18].
Toponymie
On trouve la forme latinisée de Oscencurte en 1154[19], Urcionis curtis en 1164[20],[21], puis Occecourt, Ochecourt, Ochencourt, et finalement Ochancourt[22].
Tous ces noms de villages se terminent par -court. Ce sont le plus souvent des hameaux ou de petits villages ; l'appellatif toponymique -court (> français moderne cour) est issu du gallo-roman CŌRTE qui signifie « cour de ferme, ferme ». Cet appellatif est généralement précédé d'un nom de personne germanique. Ces formations toponymiques datent du Moyen Âge. Cette façon de nommer les lieux serait liée à l'apport germanique du VIe siècle[Note 3],[23]. En effet, les toponymes en -court typiques de l'extrême nord et nord est de la France sont calqués sur les noms de lieux en -hof, -hov, -hoffen, -hoven « cour de ferme, ferme » des pays de langue germanique (Flandres, Alsace-Lorraine, Pays-Bas, Allemagne), ainsi aux Béthencourt, Bétancourt, etc. correspondent Bettenhof, Bettenhoffen, Bettenhoven, etc.
Le premier élément Ochan- s'explique par le nom de personne germanique Occing[24], dont le suffixe -ing a régulièrement donné -en, noté par la suite -an ou moins probablement du nom de personne germanique Ursio, issu du latin ursus « ours », au cas régime en -on de l'ancien français, altéré en -an par la suite. Le -ch- est caractéristique du chuintement normanno-picard.
Le nom du hameau, Le Mesnielle, est issu de mesnil (ou maisnil), avec un élément -elle indéterminé. Ce nom de lieu apparait vers le Xe siècle. Il s'agit d'un terme gallo-roman *MASIONILE, dérivé du latin mansio (maison) qui désigne une exploitation rurale dotée d'une maison d'habitation. Son nom est porté localement, sous la royauté, par la famille du Mesnil de Fiennes, alliée aux Le Roy d'Hantecourt[b 1].
Le lieu-dit les Vignes[25], bien exposé, témoigne de la culture du raisin sur le territoire.
Les études réalisées par un cabinet spécialisé, pour l'élaboration de la carte communale, ont mis en évidence un parcellaire bâti remontant à l'époque gauloise[27].
La Terre des tombes, située sur le territoire de la commune, marque, dit-on, le lieu où furent inhumés des combattants ayant participé à la bataille de Saucourt-en-Vimeu remportée par le roi des Francs, Louis III, et son armée contre les Normands en août 881.
Gaston Vasseur (Nibas et ses annexes), nous apprend que ce fut également le lieu où les deux armées se rencontrèrent. Les Normands auraient laissé 8 000 des leurs sur le champ de bataille[28],[a 2].
On trouve dès 1284, Guy d'Ossencourt (Ochancourt) et damoiselle Béatrice sa femme. Comme seigneurs capitaux, ils confirment le don fait en 1276 à l'Abbaye Notre-Dame de Séry à Bouttencourt par Jean de Nibas de « deux journaux de terre sis à Escarbotin à la condition que les religieux résidant à Friville feraient tous les ans son anniversaire[29] ».
Il y avait à Ochancourt plusieurs seigneuries portant le nom de la seigneurie principale[20],[21].
À la suite des lois du et du , Le Maisnil et Ochancourt sont intégrés dans les nouveaux département de la Somme, district d'Abbeville et canton de Franleu. En l'an X, le canton de Franleu est supprimé. La commune est alors rattachée au canton d'Ault[a 3], jusqu'à la création du canton de Friville-Escarbotin en 1985.
Le , le maire démissionne car un conflit entre les membres du conseil peut conduire à la démolition de l'église et la dispersion de ses biens[b 2].
Le , Antoine Get, 38 ans, Charles Turle, 38 ans et Charles Legay, 30 ans, sont désignés pour le fournissement du contingent, à la demande des députés de la Convention nationale[31],[b 3].
En 1794, les familles nobles Danthecourt et Dumesnil sont emmenées à Abbeville. Les scellés sont posés sur leurs papiers et biens divers, à la réquisition du citoyen André Dumont, représentant du peuple[b 4].
Époque contemporaine
Le 26 juillet 1842, Féréol Bellaches, époux de Catherine Humel, occupé à labourer, tue, avec le coutre de sa charrue, un loup blessé, caché dans un champ de trèfle[32].
Deuxième République : en 1849, comme dans toutes les communes de France, la population masculine majeure peut, pour la première fois, aller voter grâce à l'instauration du suffrage universel. Voici la répartition (en nombre) de quelques-uns des patronymes des 116 électeurs[33](saisie non exhaustive) :
Anquier
Parmentier
Legay
Forestier
Delattre
Vannier
Tellier
Ozenne
Roger
Petit
12
16
8
5
3
3
3
4
1
1
Le village au début du XXe siècle d'après les cartes postales
Le château du XVIIIe siècle, rue de Nibas, au début du XXe siècle.
Le premier château seigneurial, complètement disparu, se trouvait près de l'église.
L'ancienne mare était située à l'emplacement de la cour d'école.
L'ancien moulin, rue de Nibas.
L'ancien moulin, rue de Nibas est abattu par une tempête en 1917, fragilisé parce qu'une des meules avait été démontée[34].
Pendant la Première Guerre mondiale, des soldats indous campent derrière le château[35]. Treize noms de morts pour la patrie figurent sur le monument aux morts édifié en 1921, à la faveur d'une souscription publique[36].
En 2022, le RPI Ochancourt-Valines est dissous[51].
Un nouveau regroupement est créé avec Nibas. L'école à classe unique d'Ochancourt est fermée[52].
Les collégiens d'Ochancourt ont accès au collègeLa Rose-des-vents de Friville-Escarbotin[53] et peuvent ensuite poursuivre leurs études au lycée du Vimeu, également à Friville-Escarbotin. Le lycée du Vimeu est labellisé lycée des métiers de l'industrie et du secteur tertiaire[54].
En dehors d'un plateau d'éducation physique qui comprend un court de tennis en accès libre, Ochancourt ne dispose pas d'infrastructure sportive. La salle communale peut toutefois être utilisée pour le tennis de table, la gymnastique des écoliers ou des adultes.
Le pré communal est voué à des activités équestres.
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[55]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[56].
En 2021, la commune comptait 325 habitants[Note 6], en évolution de +5,86 % par rapport à 2015 (Somme : −0,98 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Le comité des fêtes, coordonnateur des manifestations locales s'implique dans l'organisation.
Brocante : le premier dimanche de juin.
Fête locale : dernier dimanche d'août.
Fête du sport et du cheval : deuxième dimanche de septembre.
Vie associative
Cette section doit être actualisée. (Dernière mise à jour : 2007)
Des passages de cette section sont obsolètes ou annoncent des événements désormais passés. Améliorez-la ou discutez-en.
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Dans les années 1960, une usine de chromage a connu un certain essor, en face de l'église. Les locaux ont été repris par les « Caves d'Ochancourt », commerce de vin, pendant une vingtaine d'années.
La commune compte plusieurs chambres d'hôtes et gîtes. Ces lieux d'accueil permettent de résider à proximité de la côte picarde.
L'Atelier de Décolletage du Vimeu (ADV) est le principal centre d'activités de la commune.
En 2013, il ne reste plus que deux exploitations agricoles basées dans le village. Une seule pratique encore la production laitière et l'élevage.
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
Église Saint-Ouen[59],[60], dont la partie la plus ancienne, maçonnée en silex grossièrement taillés, est datée du XIIe siècle. Malgré de nombreuses réparations attestées par ses murs en un mélange de brique et moellon de craie, son clocher penche sérieusement. C'était un lieu de pèlerinage pour les sourds qui s'y rendaient le dimanche qui suit l'Ascension[61]. Le cadran solaire gravé sur le clocher donne l'heure exacte[62].
Les chapelles du cimetière et du carrefour dont celle de la famille d'Anvin de Hardenthun, seigneurs du lieu. Leur famille remonterait aux croisades (1191). Leur dernier représentant portait le titre de baron[Note 8].
Le chemin dit du tour des Haies permet de contourner entièrement l'agglomération à pied, à cheval ou à vélo. Certaines portions se nomment : ruelle des Contrebandiers, ruelle des Soupirs, ruelle Coppegueule[Note 9]...
Le monument aux morts pour la patrie, espace du souvenir, et les trois tombes de soldats alliés du Commonwealth, à l'entrée du cimetière[64],[65]
Le château du XVIIIe siècle, rue de Nibas. Le jardin est inscrit à l'inventaire général du patrimoine culturel[66].
Personnalités liées à la commune
La famille d'Anvin de Hardenthun s'établit à Ochancourt dès le XVe siècle. Elle est maintenue dans sa noblesse sur preuves remontant à Pierre d'Anvin de Hardenthun, seigneur du lieu en 1494[67],[68]. Les membres de cette famille, une des grandes familles du Boulonnais et de la Picardie, vont garder Ochancourt comme fief central : ils se font inhumer dans l'église puis dans une chapelle édifiée à cette fin, même après qu'ils ne sont plus seigneurs d'Ochancourt. Le cimetière du village garde des traces (chapelle funéraire, vitrail) de cette lignée[69].
Nom jeté : on se moque parfois de « chés dor' in l'air d'Ochincourt » (« les Dors en l'air d'Ochancourt »), portés à avoir « la tête en l'air »[réf. nécessaire].
Héraldique
Blason
De sable à la bande d'or accompagnée en chef de trois billettes ordonnées en orle et en pointe de trois molettes d'éperons ordonnées en orle, le tout du même, à une chouette d'argent brochant sur la bande[70].
Détails
Le champ de sable, la bande d'or et les trois billettes sont empruntées aux armes de la famille d'Anvin de Hardenthun, dont sont issus les principaux seigneurs d'Ochancourt du XVe au XVIIIe siècle. Les molettes d'éperons sont empruntées aux armes parlantes de la famille Lesperon, seigneurs d'une partie d'Ochancourt aux XVIIe et XVIIIe siècles. La chouette est quant à elle la « mascotte » du village, et fait également écho au sobriquet des habitants : « chés dort in l'air d'Ochincourt ». Adopté le .
↑Proposition émise en 1976, par Maurice Lebègue, professeur de Français à l'École Normale d'Amiens, à la suite d'un travail réalisé sur l'origine des noms des communes de la Somme.
↑Maurice Petit (1927-1990), maire de 1963 à 1990, sut motiver les habitants pour la construction bénévole de la salle polyvalente qui porte son nom.
↑Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
↑Sa description, mentionnant sainte Barbe, saint Jean-Baptiste et les donateurs, figure dans l'ouvrage de Gérard Bacquet, cité en référence.
Gaston Vasseur, Nibas et ses annexes depuis les temps les plus reculés jusqu'à nos jours, 67 rue Saint-Jacques 75005 Paris, Le Livre d'Histoire-Lorisse, reprise de l'édition de 1929, , 294 p. (ISBN2-84373-565-3, ISSN0993-7129)
André Vidal et Jean-Luc Martin, Registre pour servir aux délibérations de la commune d'Ochancourt & bailliages 1790-1797, transcription, comité des fêtes d'Ochancourt, coll. « Les Mémoires d'Ochancourt », 4e trimestre 1993, 66 p.
↑ a et bDaniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
↑Registre pour servir aux délibérations de la commune d'Ochancourt et bailliages 1790-1797, édité par le comité des fêtes d'Ochancourt, 4e trimestre 1993, André Vidal, Jean-Luc Martin
↑Jacques Dulphy, Les loups dans la Somme, janvier 1988, imp. Colombel, Amiens, p. 245.
↑Liste électorale d'Ochancourt, Archives Départementales de la Somme, Amiens, 1849
↑Vincent Héry, « Vimeu industriel - intercommunalité: « Nous sommes en position d'attente » : Les prochaines semaines décideront de l'avenir de la communauté de communes du Vimeu industriel. Les élus souhaitent la voir grandir, mais avec qui s'allier ? », Le Courrier picard, (lire en ligne).
↑Vincent Héry, « Les élus favorables à une fusion Vimeu vert-Vimeu industriel : Les deux conseils communautaires se sont prononcés en faveur de ce mariage, qui n'a pas été envisagé dans le schéma présenté par la préfète », Le Courrier picard, (lire en ligne).
↑Julien Levasseur, « Les élus favorables à un mariage avec le Vimeu Vert : Fiscalité proche, bassin de vie et d'emploi homogène, compétences proches et complémentaires. A l'unanimité, les élus du Vimeu Industriel se sont déclarés favorables à une fusion avec leurs voisins du Vimeu Vert. », L'Informateur - L'Éclaireur, (lire en ligne).
↑G. L., « Vimeu vert - Pour une gestion égalitaire : La Communauté de communes de Vimeu Vert vit sa dernière année. Elle mènera un ultime chantier, la voirie, et se prépare à la fusion », Le Courrier picard, (lire en ligne).
↑« Arrêté préfectoral du 15 avril 2016 portant projet de périmètre de la communauté de communes issue de la fusion de la communauté de communes du Vimeu Vert et de la communauté de communes du Vimont industriel », Recueil des actes administratifs de la Préfecture de la Somme, nos 2016-031, , p. 96-97 (lire en ligne [PDF]).
↑Dictionnaire du personnel politique de la Somme (1800-1945), Archives départementales de la Somme, Amiens
↑Réélu pour le mandat 2014-2020 : « Liste des maires de la Somme » [xls], Liste des élus du département de la Somme, Préfecture de la Somme, (consulté le ).
↑« Flavien Grenon conduit la majorité sortante à Ochancourt : Daniel Gallet ne se représente pas. C'est son adjoint Flavien Grenon, 43 ans, qui prend le relais », Le Courrier picard, (lire en ligne, consulté le )« Après la confirmation de l'arrêt du maire, Daniel Gallet, 75 ans, c'est son adjoint Flavien Grenon qui devient la tête de liste avec cinq conseillers sortants ».
↑Gérard Bacquet et Marie-Noé Hue, Le Vimeu, imp. Paillart, Abbeville, G. Bacquet, Auxi-le-Château, , 366 p. (ISBN978-2-902130-08-5, EAN9782902130085), p. 267, 264.