En , des procureurs américains s'apprêtent à divulguer les charges de narcotrafic qui pèsent sur le chef de la garde nationale ainsi que sur d'autres fonctionnaires vénézuéliens, dont l'ancien député chargé de l'agence anti-drogue Edylberto Molina, potentiellement impliqués dans le trafic de cocaïne[1]. Néstor Reverol est mis en cause par un tribunal de Brooklyn à New York[1].