Selon les sources et le contexte, on observe différentes formes : Bakitara, Banyoro, Bunyoro, Gungu, Kitara, Kyopi, Nyoros, Ouanyoro, Runyoro,
Vouanyoro, Wanyoro [1].
Langue
Leur langue est le nyoro (ou runyoro), une langue bantoue, dont le nombre de locuteurs était estimé à 667 000 en 2002[2].
Culture
Les Nyoros ont développé un savoir-faire sidérurgique original et élaboré. L'élaboration du métal, très ritualisée, est assimilée à une naissance ; les outils sont sexualisés et les étapes du travail sont fréquemment associées à la religion[4].
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↑(en) Eugenia W. Herbert, Iron, Gender, and Power : Rituals of Transformation in African Societies, Indiana University Press, , 277 p. (ISBN978-0-253-20833-0, lire en ligne), p. 102
Voir aussi
Bibliographie
(en) David Kihumuro Apuuli, A thousand years of Bunyoro-Kitara Kingdom : the people and the rulers, Fountain Publishers, Kampala, 1994, 144 p.
(en) John Beattie, The Nyoro state, Clarendon Press, Oxford, 1971, 280 p. (ISBN0-19-823171-7)
(en) A.B.T. Byaruhanga-Akiiki, Religion in Bunyoro, Kenya Literature Bureau, Nairobi, 1982, 256 p. (texte remanié d'une thèse soutenue à l'Université Makerere en 1971)
(en) Brian Kingzett Taylor, The Western Lacustrine Bantu (Nyoro, Toro, Nyankore, Kiga, Haya and Zinza, with sections on the Amba and Konjo), International African Institute, Londres, 1962, 159 p.
(en) John Roscoe, The Bakitara or Banyoro (Mackie ethnological expedition to Central Africa), Gregg, Farnborough, 1968, 370 p. (fac simile de l'éd. de 1923, Cambridge University Press)
Discographie
(en) Royal Court Music from Uganda (Ganda, Nyoro, Ankole), collecteur Hugh Tracey, Sharp Wood Productions, 1998 (enregistrement 1950-1952)