Léna vient de se séparer de son mari Nigel et obtient la garde de ses deux enfants. Elle est cependant dans une période de grande confusion personnelle et sentimentale amplifiée par l'abandon de son travail d'anesthésiste à l'hôpital. Elle part passer quelques jours de vacances dans la maison familiale de Bretagne en compagnie de ses enfants, de ses parents ainsi que de sa sœur et son frère. Cependant sa mère Annie, avec l'accord de l'ensemble de la famille présente, décide d'inviter Nigel quelques jours pour lui permettre de voir ses enfants, tout en espérant secrètement un rabibochage du couple. Face au fait accompli, Léna s'irrite et dans un premier temps décide de partir immédiatement avant de se raviser. Les tensions entre les différents binômes composant la famille sont importantes avec cependant pour source commune la recherche difficile du bonheur individuel au sein du fragile équilibre des couples. Léna, étouffée par sa famille et son absence de repères dans sa vie, s'enfonce dans une période faite d'incertitudes et de décisions contradictoires.
Cette section contient une ou plusieurs listes. Le texte gagnerait à être rédigé sous la forme de paragraphes synthétiques. Les listes peuvent demeurer si elles sont introduites par une partie rédigée et sourcée, de façon à bien resituer les différents éléments (novembre 2020).
Le titre du film a été choisi d'après la comptine Sur le pont du Nord[2].
Il existe deux versions de l'affiche de ce film sans ou avec le slogan Vivez libre qui fut trouvé par le distributeur Jean Labadie quinze jours avant la sortie du film à des fins marketing[3] en raison du handicap supposé d'un film au titre long auprès du public.
Des membres de cercles celtiques de toute la Bretagne ont été engagés pour porter le costume breton et assurer les danses en tant que figurants lors de la scène centrale du film de la légende de Katell qui donne son titre à l'œuvre.