Nicolas Senèze travaille au service « Religion » du quotidien catholique La Croix, de 1999 à 2009 - puis à partir d' comme chef adjoint du service « Web ».
Nicolas Senèze s'est spécialisé dans ce qu'il nomme la "crise intégriste"[1], cette appellation faisant pendant à la "crise moderniste" du début du XXe siècle. Il est cité par divers médias français[2],[3],[4],[5],[6] comme un bon connaisseur de l'intégrisme catholique.
Il a présidé l'Association des journalistes d'information religieuse (AJIR) de 2004 à 2008[7].
En , il devient le correspondant de La Croix au Vatican[8], succédant à Sébastien Maillard. Il publie en 2019 Comment l'Amérique veut changer de pape qui dévoile l'opposition d'une certaine partie du catholicisme américain au pape François, notamment dans les milieux laïques grands contributeurs de l'Église américaine, fragilisés par les critiques du pape à l'encontre du libéralisme économique et de l'American way of life[9].
En août 2020, il rejoint le service Économie de La Croix[10], chargé de la rubrique sociale ; Loup Besmond de Senneville lui succède comme envoyé spécial permanent de La Croix à Rome[11].
Notes et références
↑David Roure, « La crise intégriste », Esprit et vie, (lire en ligne, consulté le )
↑(en) Reuters, « Fellay ordains SSPX priests, hints timid opening », FaithWorld, (lire en ligne, consulté le )