Nectandra globosa est un arbre atteignant jusqu'à 30 m de haut[3].
En 1955, Lemée propose la description suivante de Nectandra globosa :
« N. pisi Miq. (N. globosa Mez. non Aubl.). Jeunes rameaux tomenteux-roussâtres ou pubérulents ; feuilles de 0,10-0,25 sur 0,04-0,09, à pétiole de 15 mm, environ, alternes ou les supérieures sub.opposées, ovales ou lancéolées aiguës ou acuminées, à base aiguë ou subobtuse, chartacées, glabres en dessus, devenant glabres en dessous, côte et nervures (5-7 paires de primaires pas unies au bord) pas unies en dessus, saillantes en dessous, veines densément réticulées ; panicules aux aisselles supérieures, pubérulentes subcorymbiformes multiflores, fleurs hermaphroaites larges de 6-10 mm., soyeuses-jaunâtres en dehors, anthères des 6 étamines extérienres très épaisses : à loges dépassées par le connectif épais, le troisième rang avec gross.es glandes globuleuses; ovaire glabre, stigmate discoïde-réniforme ; baie de 13-16 mm. sur 8-12, ovoïde-ellipsoïdale, avec cupule hémisphérique ruguleuse large de 8 mm., couvrant le huit sur 5 mm., pédicelle mince. - Guy. holl. : riv. Maroni. »
↑ ab et c(en) Paul E. Berry (Eds), Kay Yatskievych (Eds) et Bruce K. Holst (Eds), Flora of the Venezuelan Guayana, vol. 5, Eriocaulaceae–Lentibulariaceae, Box 299, St. Louis, MO 63166-0299, MISSOURI BOTANICAL GARDEN PRESS, , 874 p. (ISBN0-915279-71-1), p. 724
↑Albert Lemée, Flore de la Guyane française : Tome I - Ptéridophytes à Droséracées, Brest, LIBRAIRIE LECHEVALIER, , 701 p., p. 638-639
↑Jean Baptiste Christian Fusée-Aublet, HISTOIRE DES PLANTES DE LA GUIANE FRANÇOISE, rangées suivant la méthode sexuelle, avec plusieurs mémoires sur les différents objets intéreſſants, relatifs à la culture & au commerce de la Guiane françoiſe, & une Notice des plantes de l'Iſle de France. volume I, Londres et Paris, P.-F. Didot jeune, Librairie de la Faculté de Médecine, quai des Augustins, , 867 p. (lire en ligne), p. 327-328