Le mémo de Dowing street débute le 1er mai 2005, avec les révélations du journal britannique Sunday Times qui divulgue un document secret d'une réunion interne du gouvernement britannique, le « Downing Street memo ». Celui-ci, révèle la planification du déclenchement de la guerre en Irak au sein du gouvernement britannique.
Le mémo de Downing Street, est parfois décrit comme le une preuve formelle d'une planification de la guerre d'Irak. Cette note d'une réunion secrète du 23 juillet 2002 [1],[2] est rédigé au 10 Dowing Street, la résidence du premier ministre britannique en présence de hauts responsables du gouvernement britannique, de la défense et du renseignement. Certains information au sein de cette dernière font directement référence à la politique interne des États-Unis au sujet de l'Irak[3].
L'information est resté largement inaperçu dans la presse américaine, mais sera progressivement reprise dans des blogs du Daily Kos, car Richard Dearlove chef du MI6 à l'époque affirme que « les renseignements et les faits étaient truqués [par les Etats Unis]» en vue de renverser Saddam Hussein du pouvoir. Cela tend à montrer que les renseignements américains sur l'Irak étaient délibérément falsifiés[5].
La couverture médiation de cette évènement par de grand organe de presse n'interviendra qu'a partir de mi-mai ( Los Angeles Times du 12 mai 2005, The Washington Post du 13 mai 2005) Cette note fait par de deux allégations sensible et pouvant déstabilisé le pouvoir américains et son narratif. La mission des Nations Unies pour enquêter sur de possibles armes de destruction massives aurait été manipulé. Et que les frappes aériennes avant l'invasion de l'Irak ont été délibérément intensifiées afin de détruire considérablement les infrastructures de défense militaire irakiennes en vue de la guerre [avant le vote du Sénat américain en octobre autorisant l'invasion[6].
↑Walter Pincus, « British Intelligence Warned of Iraq War:Blair Was Told of White House's Determination to Use Military Against Hussein », The Washington Post, (lire en ligne, consulté le )