L'auteur s'adresse directement aux victimes, navré mais exprimant aussi une sourde colère contre l'oubli du sort de ces suppliciés :
« […] À vos enfants on ne répète jamais comment finit leur grand-papa, il y a des choses dont on ne parle pas, mutins de 1917 ».
Les générauxJoffre et Nivelle sont cités, et l'accent est mis sur les fautes de l'état-major français.
La chanson a été interdite de diffusion sur les ondes nationales dès sa sortie. Ce n'est que plus de trente années plus tard, précisément le , dans l'émission de Robert ArnautHistoires possibles et impossibles, qu'il a été possible d'entendre l'enregistrement original de Jacques Debronckart.
Référence
Dans les bars d'Adélaïde, Christian Pirot, (ISBN2868081606)