Le mupirocine est bactériostatique à faible concentration et bactéricide à forte concentration[5]. L'indication principale de la mupirocine est l'éradication du portage nasal Staphylococcus aureus[6] En milieu hospitalier, il est utilisé pour le contrôle des épidémies ou états hyperendémiques à Staphylococcus aureus (Méti-R)[6].
↑(en) G Mellows, « Inhibition of isoleucyl-transfer ribonucleic acid synthetase in Escherichia coli by pseudomonic acid - PubMed », The Biochemical journal, vol. 176, no 1, , p. 305–318 (ISSN0264-6021, PMID365175, DOI10.1042/bj1760305, lire en ligne, consulté le ).
(en) Maryadele J. O'Neil, Patricia E. Heckelman, Cherie B. Koch et al. (dir.), The Merck index : an encyclopedia of chemicals, drugs, and biologicals, Merck Research Laboratories, Whitehouse Station (N. J.), 2006 (14e éd.), p. 1089−1090 (ISBN978-0-911910-00-1)
(en) Clive Wood (dir.), Topical treatment of skin infections : the role of mupirocin, Royal Society of Medicine Services, Londres, 1986, 71 p.
(fr) Christine Arnold, La mupirocine : un nouvel antibiotique, Université de Bordeaux 2, 1993, 102 p. (thèse de Pharmacie)
(fr) C. Geoffray, O. Chosidow et J. Revuz, « La mupirocine : pharmacologie et indications thérapeutiques », in Annales de dermatologie et de vénéréologie, 1990, vol. 117, no 10, p. 753-757
(fr) C. Geoffray, O. Chosidow et J. Revuz, « La mupirocine : une nouvelle antibiothérapie locale », in Concours médical, 1990, vol. 112, no 28, p. 2551-2553