Le moulin fut occupé ou possédé par différentes personnalités, parmi lesquelles : Xavier Boucher de la Perrière (neveu de Claude-Pierre Pécaudy de Contrecœur), François-Xavier Boucher, fils aîné du précédent, Xavier Mailhot, John Fraser, membre du Conseil législatif, puis, à partir de 1913 par la famille Chaput. En 1999, Mme Chaput décline l'offre de la ville pour l'achat du moulin mais l'offre à la Ville de Contrecœur. Le dernier meunier à y avoir travaillé était Joseph Lafrenière.
Il s'agit d'un moulin de style saintongeais, aujourd'hui privé de son mécanisme d'origine ; il possède néanmoins son rouet originel. Il a été muni d'une éolienne lorsqu'il servit de pompe à eau pour les propriétés avoisinantes.
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Gilles Deschênes (et Gérald-M. Deschênes, collab.), Quand le vent faisait tourner les moulins, Trois siècles de meunerie banale et marchande au Québec, Québec, Septentrion, 2009, 313 p. (ISBN978-2-89448-580-4)
Laval Gagnon et Kathy Paradis, La tournée des vieux moulins à vent du Québec, Cap-Saint-Ignace, Édition La Plume d'oie, 1999, 190 pages (ISBN2-922183-45-9)
Commission des biens culturels, Les chemins de la mémoire, Les Publications du Québec, Québec, 1991, tome II, p. 244.