En 2023, le nombre total de décès en France (outre-mers inclus) est de 638 000 pour une population de 68,4 millions[2]. Le taux de mortalité pour 1 000 habitants est estimé à 9,2[3].
Les données des causes de décès sont collectées de manière officielle et régulière en France depuis 1925, avec depuis 1937 une circulaire créant le certificat médical de décès, rempli par un médecin et cacheté pour assurer sa confidentialité.
Depuis 2007, il est possible de déclarer un décès à l'aide d'une procédure de « certification électronique des décès », les médecins certificateurs transmettent l'information au CépiDc en remplissant un formulaire sur un poste informatique. Ils peuvent pour cela s'authentifier à l'aide de leur carte de professionnel de santé[6].
Utilisation
La Drees, le CépiDc et Santé publique France analysent les causes médicales de décès en se basant sur les certificats transmis au CépiDc[7].
L'Insee se base également sur les données du CépiDc[8].
La Guyane n'est prise en compte que depuis 2001[10].
Mayotte n'est prise en compte que depuis 2014[10].
Absence de remonté des certificats médicaux de décès vers le CépiDc pour environ 2% des décès chaque année. Les décès sont alors reclassés dans la catégorie "Symptômes et états morbides mal définis" (R99)[4].
Les maladies iatrogènes ne sont pas récensées[13]. Le Ceprim estime qu'elles causent 10 000 morts par an en France[14].
Un taux de mortalité pour 1 000 habitants entre 8,3 et 10,1.
Depuis 2014
Évolution annuelle des décès depuis 2014 (Insee[15],[16])
Année
Décès
Évolution / Année
%
Taux de mortalité pour 1 000 habitants
Évolution / Année
2014
559 293
8,4
2015
593 680
34 387
6,15 %
8,9
0,5
2016
593 865
185
0,03 %
8,9
0
2017
606 274
12 409
2,09 %
9,1
0,2
2018
609 648
3 374
0,56 %
9,1
0
2019
613 243
3 595
0,59
9,1
0
2020
668 922
55 679
9,08 %
9,9
0,8
2021
661 585
-7 337
-1,10 %
9,7
-0,2
2022
673 637
12 052
1,82 %
9,8
0,1
2023
638 266
-35 371
-6,5 %
9,2
-0,6
Explication des fortes augmentations depuis 2014
2015 peut s'expliquer par une cause structurelle comme le vieillissement des baby boomers[17] qui atteignent un âge où ils sont plus fragiles, mais aussi des facteurs plus conjoncturels comme une épidémie de grippe particulièrement virulente au premier trimestre, plusieurs épisodes de canicule en juillet et en août, et une vague de froid en octobre[18].
2017 peut s'expliquer par l’épidémie de grippe hivernale marquée par une surmortalité de 13 000 décès en France métropolitaine[19],[20].
En 2008, le CépiDc de l'Inserm a recensé 3 095 morts d'enfants de moins d'un an en France, soit un taux de mortalité de 374,9 pour 100 000[26]. 50,3 % de ces morts étaient dues à des affections dont l'origine est la période périnatale, ce qui représente 1 557 enfants. 20,7 %, soit 640 étaient dues à des malformations congénitales. 14,6 %, soit 452, étaient dues à une mort subite du nourrisson ou à une cause inconnue.
En 2000, le CépiDc avait recensé 3 695 morts d'enfants de moins d'un an en France[26].
Entre 2005 et 2009, le taux de mortalité des enfants de moins d'un an a cessé de baisser, conduisant à un moins bon classement de la France parmi les pays d'Europe : elle occupait le 5e rang en 1999, et le 14e en 2008[27].
Principales causes de décès en 2020, pour les moins de 1 an (Insee[28])
Les accidents sont à l'origine de 30 % des décès chez les garçons, 22 % chez les filles, suivis par les tumeurs (21 % et 20 %) et les malformations congénitales.
Les taux de décès ont baissé de 27 % entre 2000 et 2008 (les accidents mortels ont diminué de 40 % et les tumeurs de 17 %)[26].
Principales causes de décès en 2020, de 1 an à 24 ans (Insee[28])
Une étude de l'ANSES en 2020 révèle que « 95 % de la population française adulte est exposée à un risque de détérioration de la santé par manque d’activité physique ou un temps trop long passé assis »[29]. Toujours selon cette enquête, 5 % des adultes en France ont une activité physique suffisante pour protéger leur santé : les femmes sont plus exposées que les hommes à un manque d’activité physique[29]. Plus d’un tiers des adultes français cumule un haut niveau de sédentarité et une activité physique insuffisante : en conséquence, ils sont plus exposés au risque d’hypertension ou d’obésité et ont un taux de mortalité et de morbidité plus élevés causés par des maladies cardiovasculaires et certains cancers[29].
que les hommes représentent la très grande majorité des décès et sont 30 fois plus à risque que les femmes.
Tableau des causes de mortalité
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Causes de mortalité en France par ordre d'importance (certaines causes peuvent se recouvrir - facteurs multiples de mort ou implication)
En 2008, 3 095 enfants de moins d'un an sont morts (les 2/3 avant leur 7e jour de vie), ce qui représente un taux de mortalité de 374,9 pour 100 000. 1 409 enfants âgés d'un an à quatorze ans sont morts, ce qui représente un taux de mortalité de 12,8 pour 100 000. 3 428 jeunes adultes âgés de quinze ans à 24 ans sont morts, soit un taux de mortalité de 42 pour 100 000. 17 698 adultes âgés entre 25 et 44 ans sont morts, soit un taux de mortalité de 103,1 pour 100 000. 86 707 adultes âgés entre 45 et 64 ans sont morts, soit un taux de mortalité de 530,9 pour 100 000. 236 374 adultes âgés entre 65 et 84 ans sont morts, soit un taux de mortalité de 2606,4 pour 100 000. Enfin, 194 428 adultes âgés de plus de 85 ans sont morts, soit un taux de mortalité de 13 650,0 pour 100 000[26].
Taux de mortalité par sexe et âge en 2015 en France métropolitaine (pour 1 000 personnes)[66]
En 2008, le CépiDc de l'Inserm a recensé 3 095 morts d'enfants de moins d'un an en France, soit un taux de mortalité de 374,9 pour 100 000[26]. 50,3 % de ces morts étaient dues à des affections dont l'origine est la période périnatale, ce qui représente 1 557 enfants. 20,7 %, soit 640, étaient dues à des malformations congénitales. 14,6 %, soit 452, étaient dues à une mort subite du nourrisson ou à une cause inconnue.
En 2000, le CépiDc avait recensé 3 695 morts d'enfants de moins d'un an en France[26].
Entre 2005 et 2009, le taux de mortalité des enfants de moins d'un an a cessé de baisser, conduisant à un moins bon classement de la France parmi les pays d'Europe : elle occupait le 5e rang en 1999, et le 14e en 2008[27].
Mortalité des enfants d'un à quatorze ans
C'est la classe d'âge qui enregistre le plus faible nombre de décès : 1 409 décès en 2008, dont 56 % de garçons. Les accidents sont à l'origine de 30 % des décès chez les garçons, 22 % chez les filles, suivis par les tumeurs (21 % et 20 %) et les malformations congénitales. Les taux de décès ont baissé de 27 % entre 2000 et 2008 (les accidents mortels ont diminué de 40 % et les tumeurs de 17 %)[26].
Les causes de décès survenant pendant la période de grossesse ou suivant les 42 jours après l'accouchement peuvent se classer en trois catégories : les morts de causes directes, les morts de causes indirectes et les morts de causes fortuites ou accidentelles. La catégorie des morts fortuites ou accidentelles n'est pas considérée comme une cause obstétricale en France (selon la définition du CIM 9 ; classification internationale des maladies), et n'est donc pas prise en compte dans le calcul du taux de mortalité en France.
Les décès de causes directes découlent de traitements erronés, de complications obstétricales (du début de la grossesse aux suites de couches jusqu'à 42 jours après l'accouchement), d'omissions ou d’événements liés à ces causes.
Les décès de causes indirectes découlent d'antécédents préalables ou d'affection survenant au cours de la grossesse sans être de cause obstétricale directe. Ces causes indirectes ont pu devenir létales car aggravées par la condition physiologique de grossesse.
Le taux de mortalité maternelle fait le rapport du nombre de femmes décédées de causes obstétricales directes ou indirectes jusqu'à 42 jours après l'accouchement sur le nombre de naissances vivantes. Ce taux se calcule sur une année pour 100 000 cas et permet donc par exemple d'obtenir un taux moyen annuel pour un pays.
En France par exemple ce taux à une tendance évoluant généralement à la baisse :
Évolution du taux de mortalité maternelle de 1989 à 2008 en France[69]
Taux de mortalité maternelle annuel (pour 100 000 naissances vivantes) en France métropolitaine (France entière)
On peut observer une répartition inégale des décès maternels par âge grâce au rapport de l'Enquête nationale confidentielle sur les morts maternelles (ENCMM) 2010-2012 dont voici l'un des tableaux :
Ratio de mortalité maternelle par groupe d'âge en France entière 2010-2012[71]. Données ENCMM
Groupe d'âge
Naissances vivantes
Naissances vivantes %
Décès maternels
Décès maternels %
Ratio de morts maternelles pour 100 000 naissances vivantes
IC 95%
<20 ans
46 661
1.9 %
6
2,3 %
12.9
4,7-28
20-24
325 138
13,1 %
26
10,2%
8,0
5,2-11,7
25-29
762 367
30,8 %
57
22,3 %
7,5
6-9,7
30-34
810 579
32,7 %
68
26,6 %
8,4
6,5-10,6
35-39
417 248
16,8 %
74
28,9 %
17,7
13,9-22,3
>40
115 247
4,7 %
25
9,8 %
21,7
14-32
Tous
2 477 240
100 %
256
100 %
10,3
9,1-11,7
Répartition des morts maternelles
Répartition par pays de naissance
Ces données peuvent donner une indication de l'impact qu'a la provenance de la mère sur ses chances de survie. Des études sociales pourraient peut-être mettre en évidence des différences de prise en charge selon l'éthnicité, des différences de perception de la gravité des cas selon la culture et l'éducation des mères ou autres. Ici, aucune conclusion de ce type n'est tirée. Voici les données de l'ENCMM à ce sujet.
Ratio de mortalité maternelle par pays de naissance. France entière 2010-2012 ECMM[72]
On peut noter aussi grâce à la répartition des décès maternels par région de résidence, une différence importante entre la France métropolitaine et les départements d'outre-mer. Malgré des échantillons faibles on peut tout de même noter que cette différence était déjà présente dans le rapport de 2007-2009.
Ratio de mortalité maternelle par région de résidence, France entière 2010-2012, données ENCMM[72]
Région
NV
Décès
RMM
IC 95%
Départements d'Outre-mer
91287
35
40,5
28,5-55,9
Ile-de-France
548038
66
12
9,3-15,3
Métropole hors Ile-de-France
1837472
153
8,3
7,1-9,8
France entière*
2477420
254
10,3
9-11,6
*Parmi les 256 morts maternelles identifiées dans l'ENCMM, 2 sont survenues chez des femmes domiciliées hors de France.
Décès maternels évitables
Au regard des connaissances obstétricales contemporaines, de nombreux cas de morts maternelles sont considérés comme évitables. La proportion de décès considérés comme évitables est en baisse générale en France.
Évolution de la proportion de décès "évitables" parmi les morts maternelles de 1996 à 2007[73]
Nombre de morts maternelles en France métropolitaine (France entière)
% de décès évitables en France métropolitaine (France entière)
1996-2000
269
54,0
1997-2001
258
51,6
1998-2002
264
50,4
1999-2003
265
49,1
2000-2004
(275)
(46,3)
2001-2005
(262)
(47,1)
2002-2006
(257)
(43,3)
L'évitabilité selon le 5e rapport de l’Enquête Nationale Confidentielle sur les Morts Maternelles (ENCMM) 2010-2012[74]
Cause de décès
Nombre
Non évitables
Peut-être évitables nombre
Peut-être évitables %
Évitables nombre
Évitables %
Non établies
Causes directes
98
31
42
45,7
19
20,7
6
Hémorragies
23
0
10
43,5
13
56,5
0
Embolie amniotique
23
15
8
34,8
0
0
0
Complications hypertensives
10
2
5
62,2
1
12,5
2
Thromboembolies veineuses
18
8
8
50
0
0
2
Indirectes
82
38
29
40,3
5
6,9
10
Cardiovasculaires (comprend les cardiopathies du péritum)
23
12
5
25
2
10
3
AVC
17
13
4
23,5
0
0
0
Infections
12
3
5
50
2
20
2
Autres maladies préexistantes
18
5
11
64,7
1
5,9
1
Toutes
210
78
75
42,4
24
13,6
33
Le 5e rapport de l'Enquête nationale Confidentielle sur les morts maternelles (ENCMM) 2010-2012 concluait de cette manière sur les chiffres du tableau ci-dessus:
"Parmi les 210 morts maternelles expertisées, le CNEMM a jugé l’information insuffisante pour pouvoir juger de l’évitabilité du décès dans 33 cas (16 %) pour lesquels la conclusion est donc « non établie ». Au total, pour la période 2010-2012, parmi les cas pour lesquels l’évitabilité a été établie, 14 % des décès maternels ont été jugés « certainement évitables », 42 % « peut-être évitables », et 56 % « non évitables ». Ce profil est globalement stable par rapport à 2001-2003. Il montre qu’une diminution de la mortalité maternelle est encore possible et doit être obtenue, l’objectif étant de prévenir tous les décès évitables"[75].
En 2020, l'observatoire national interministériel de la sécurité routière (ONISR) a recensé 2 780 morts dus à des accidents de la route (mortalité à 30 jours) en France métropolitaine, dont 1 243 à bord d'un véhicule léger[76]. En 2009, 4 273 morts avaient été recensés par le même organisme, contre 3 992 en 2010, 4 275 en 2008 et 4 620 en 2007[77].
Maladie infectieuse
En France, les maladies infectieuses et parasitaires sont habituellement la troisième cause de mortalité, derrière le cancer et les maladies cardiovasculaires (voir le Tableau des causes de mortalité ci-dessus). À titre de comparaison, la mortalité spécifique due à la pandémie de Covid19 de mars 2020 à mars 2021 a été ajoutée, en 2020, la France a connu la plus importante mortalité de son histoire récente (9 % de plus qu’en 2018 ou 2019)[78]. Ce pourcentage est probablement plus élevé si on intègre dans la méthodologie de calcul les réductions de mortalité dues aux dispositions spécifiques comme le confinement et les mesures barrières, qui ont réduit quasiment à zéro la mortalité due à la grippe sur la période, et qui ont eu un effet possiblement favorable sur certaines causes de décès comme les accidents de la route ou les décès dues à la pollution atmosphérique[79].
Parmi ces maladies infectieuses on note :
Maladie
morts par an France 2013 source CépiDc[80] (source désormais inaccessible)
En 2016, 59,2 % des décès ont eu lieu dans des établissements de santé (hôpital ou clinique), 26,0 % à domicile, 13,5 % en maison de retraite et 1,3 % sur la voie publique[82]. Cette répartition a évolué dans le temps : depuis les années 1980, la part des décès en établissement de santé s’est stabilisée, les décès à domicile ont diminué et diminuent encore lentement alors que les décès dans les maisons de retraite augmentent. Un tiers des décès jeunes de 15 à 24 ans le sont sur la voie publique.
Évolution de l'âge de décès
En France, l'Ined a répertorié les âges de décès, avec plus ou moins de précision, sur la période 1806 à de nos jours[83].
La mortalité infantile ayant été importante par le passé, on étudie généralement les chiffres sur les populations qui ont passé un certain âge.
Ainsi, on étudiera l'espérance de vie à la naissance si l'on étudie l'ensemble de la population ; l'espérance de vie à 1 an si l'on étudie l'ensemble de la population qui a survécu à sa première année ; l'espérance de vie à 5 ans si l'on étudie l'ensemble de la population qui a survécu à ses 5 premières années.
Âge de décès
Ces graphiques montrent la répartition des décès en fonction de l'année et de l'âge du décès.
En 2017, sur les 606 000 personnes décédées en France la moitié avait plus de 83 ans et un quart plus de 90 ans. L’âge moyen au décès ne cesse d’augmenter depuis cinquante ans. Il est passé de 72 ans pour les femmes décédées en 1967 à 83 ans pour celles décédées en 2017, et de 64 à 76 ans pour les hommes sur la même période[20].
Pour 100 000 décès
Sur ces graphiques, le noir (0) indique qu'il n'y a pas de mortalité pour l'année en abscisse et l'âge en ordonnée, le blanc (100) indique qu'il y a plus de 3 225 décès sur 100 000 décès de cette année qui ont eu lieu pour cet âge. Le rouge (50) indique un taux de 1 612 décès pour 100 000 décès de l'année, pour l'âge en ordonnée.
À la naissance
À 5 ans
Relatif au maximum de l'année
Sur ces graphiques, le noir (0) indique qu'il n'y a pas de mortalité pour l'année en abscisse et l'âge en ordonnée, le blanc (100) indique qu'il s'agit de l'âge pour lequel il y a le maximum de décès cette année. Le rouge (50) indique qu'il y a eu 50 % du nombre de décès maximum de l'année classé par âge.
À la naissance
À 5 ans
Espérance de vie et quartiles de survie
Les graphes qui suivent représentent l'évolution de l'espérance de vie et des quantiles de survie.
On y retrouve la médiane, le premier et dernier quartile et le premier et dernier centile.
Les graphiques indiquent aussi ces valeurs à la naissance, à 1 an et à 5 ans.
Survivance
Les graphiques suivants mettent en avant la quantité de survivants pour un âge donné.
Les graphiques suivants mettent en avant le pourcentage de la population morte à un âge donné.
↑ a et bGérard Pavillon, Patrick Coilland et Eric Jougla, « Mise en place de la certification électronique des causes médicales de décès en France : premier bilan et perspectives », Bulletin épidémiologique hebdomadaire de l'InVS, nos 35-36, , p. 307 (lire en ligne [PDF], consulté le ).
↑France Meslé et Jacques Vallin, « Effet de l'adoption de la CIM-10 sur la continuité de la statistique des décès par cause. Le cas de la France: », Population, vol. Vol. 63, no 2, , p. 383–396 (ISSN0032-4663, DOI10.3917/popu.802.0383, lire en ligne, consulté le )
↑Les guillemets indiquent, qu'en France, il n'y a pas eu de baby-boom comme chez les anglo-saxons mais tout simplement une baisse drastique de la mortalité infantile pour un même nombre de naissances pour les années comparées 1905 et 1945 et donc un solde naissance-décès double d'après les données Insee
↑Les indicateurs sont provisoires pour les deux dernières années, résultats provisoires arrêtés à mi-avril 2017
Source : Insee, état civil et estimations de population
↑INSERM-Cépidc, « L’état de santé de la population en France - Rapport 2011 », L'état de santé de la population en France, , p. 237 (lire en ligne)
↑INSERM, Santé publique France, « Les morts maternelles en France : mieux comprendre pour mieux prévenir », Rapport d l'2nquête nationale Confidentielles sur les Morts maternelles (ENCMM) 2010-2012, , p. 20 (lire en ligne)
↑Comité national d'experts sur la mortalité maternelle évitable (INSERM unité 953), « L’état de santé de la population en France - Rapport 2011 », L’état de santé de la population en France - Rapport, , p. 237 (lire en ligne)
↑INSERM, SANTÉ PUBLIQUE FRANCE, « / Les morts maternelles en France : mieux comprendre pour mieux
prévenir », 5e rapport de l’Enquête Nationale Confidentielle sur les Morts Maternelles (ENCMM) 2010-2012, , p. 44 (lire en ligne)
↑INSERM, SANTÉ PUBLIQUE FRANCE, « Les morts maternelles en France : mieux comprendre pour mieux
prévenir. », rapport de l’Enquête Nationale Confidentielle sur les Morts Maternelles, , p. 43 (lire en ligne)