Tony est admise dans un centre de rééducation après une grave chute de ski. Dépendante du personnel médical et des antidouleurs, elle prend le temps de se remémorer l’histoire tumultueuse qu’elle a vécue avec Georgio. Pourquoi se sont-ils aimés ? Qui est réellement l’homme qu’elle a adoré ? Comment a-t-elle pu se soumettre à cette passion étouffante et destructrice ? Pour Tony c’est une difficile reconstruction qui commence désormais, un travail corporel qui lui permettra peut-être de définitivement se libérer.
En France, le site Allociné recense une moyenne des critiques presse de 3,2⁄5, sur un total de 32 critiques presse[5].
D'après le magazine Paris Match, « Énergique jusqu’à l’hystérie, dialoguée avec brio, cette comédie dramatique écrite avec une profondeur charnelle, donne un bon coup de fouet à la compétition. »[6]
Pour le journal Libération, « Mon Roi (…) a beau jeu de se river au seul point de vue de son personnage féminin de suppliciée consentante, pour mieux se plier en définitive, corps et âme, aux manières du bourreau. »[7]