Il est décrit comme extravagant et intelligent par un journaliste américain[1]. Le commandant Mahjoub Tobji(en), ancien officier de l'armée marocaine, accuse le colonel Ghoujdami et son régiment d'être toujours arrivé après les combats[6] mais considère néanmoins l'homme comme un ami très sympathique[2].
Notes et références
↑ abc et d(en) James M. Markham, « Moroccans Are Ready For a War of Attrition With Rebels in Sahara; King's Fate May Hang on War », The New York Times, (lire en ligne)