Il naît dans une famille de l'ancienne notabilité tunisoise : l'ancêtre des Belkadhi, d'origine turque et installé en Tunisie au XVIIe siècle, exerce probablement la fonction de juge, d'où le nom patronymique, ses descendants se distinguant dans la production de la chéchia jusqu'au XIXe siècle. Plus tard, avant la fin du XIXe siècle, on y trouve des religieux réputés, basés dans la capitale, Tunis[2].
↑(en) Arnold H. Green, The Tunisian ulama, 1873-1915 : social structure and response to ideological currents, Leyde, Brill Archive, , 324 p. (ISBN978-9004056879, lire en ligne).