Érasme s’en est servi pour son édition latin-grec du Nouveau Testament Novum Instrumentum omne (1516), notamment pour le texte de l'Apocalypse, qui ne se trouvait que dans ce témoin[1], et il constitue donc une des sources essentielles du Textus Receptus.
Érasme se l'était procuré par Reuchlin[1], puis il disparut pendant des siècles, jusqu'à ce qu'en 1861, F. Delitzsch le retrouve[2] au château fort de Harbourg (Souabe)[3] ( Bibl., I, 1, 4 (0), 1). Le fonds Öttingen-Wallerstein, comprenant ce manuscrit, a été depuis cédé à la bibliothèque universitaire d'Augsbourg[4].
Notes
↑ a et b(en) W. W. Combs,, « Erasmus and the textus receptus », Detroit Baptist Seminary Journal, no 1, , p. 45 (lire en ligne [PDF]).
↑(de) K. Aland, M. Welte, B. Köster et K. Junack, Kurzgefasste Liste der griechischen Handschriften des Neues Testaments, Berlin, New York, Walter de Gruyter, .