Michel Perrache est le fils d’Étienne Perrache, un architecte et maitre charpentier et d'Isabeau Siber, il est né à la Croix-Rousse à Lyon.
En , Il quitte sa ville pour se perfectionner dans son métier de sculpteur auprès des académies d'Italie et d'Anvers. Après en avoir décoré une église, il obtient le droit de bourgeoisie de la ville de Malines. De retour à Lyon, il orne de ses ouvrages plusieurs jardins et églises de cette ville[3].
Le , il épouse Louise Pierre, qui lui donne 17 enfants [4] : six fils dont le sculpteur et ingénieur Antoine Michel Perrache (1726-1779)[5], ainsi que onze filles dont Marie Anne Perrache, artiste peintre[6].
Saint-Joseph, statue, église Saint-Polycarpe de Lyon[15]
Melchisedech offrant les pains d'expiation, bas-relief, église Saint-Pierre de Mâcon (provient de l'ancienne église des Carmélites)[16].
Les Apôtres au tombeau de la Vierge, bas-relief, église Saint-Nizier de Lyon (provient de la chapelle des Pénitents de Notre-Dame du Gonfalon, Lyon)[17].
Maître-autel de l'église Saint-Nizier de Lyon : le Christ et les douze apôtres, bas-relief et colonnettes en marbre blanc[18].
↑Joseph-François Michaud et Louis-Gabriel Michaud, Biographie de tous les hommes morts et vivants ayant marqué, à la fin du XVIIIe siècle et au cours de celui actuel par leurs rangs, leurs emplois, leurs talents, leurs écrits, leurs malheurs, leurs vertus, leurs crimes, etc, vol. 33, Michaud, (lire en ligne), p. 406
↑Séverine Penlou, Rôles et fonctions de la sculpture religieuse à Lyon de 1850 à 1914 (Thèse de doctorat d'Histoire), Université Lumière Lyon-II, (lire en ligne)[source insuffisante].