Michel Dumas rejoint son maître en Italie, où il va passer seize ans à Rome, avant de rentrer à Paris pour mener une brillante carrière de peintre d'art sacré. Il peint une une Vierge des Douleurs et une Vierge consolatrice dans l'une des chapelles de l'église de la Trinité en 1877, ainsi qu'une Vie de saint Denis, quatre grandes toiles marouflées pour le bras droit du transept de l'église Notre-Dame de Clignancourt représentant son apostolat, son martyre, son ensevelissent et sa glorification[5].
Il retourne dans sa ville natale, accède au poste de directeur de l'école nationale des Beaux-Arts de Lyon[6], est nommé chevalier de la Légion d'honneur en 1884[7] et meurt en cette ville l'année suivante.
1841 : L'Ange gardien de la terre pleure sur sa planète au moment où elle va être abîmée par la main du Tout-Puissant, 1840, no 620, avec un long extrait du poème Le Dernier jour de Jean Reboul.
1845 : Fra Giovanni Angelico de Fiesole, acquis par l'État pour le musée de Langres en 1850.
↑Charvet, « Les origines de l'enseignement public des arts et du dessin à Lyon », in Revue lyonnaise, tome XXXIII, p. 135, registre BB840, folio 48. Archives historiques et statistiques du Rhône, tome IV.