Défendu par Bright, il est condamné à mort, non pour l'évasion, mais pour un attentat de décembre 1867 qui fit douze victimes et cent-vingt blessés (Clerkenwell explosion(en))[1].
Jules Verne se fait l'écho des événements dans son roman Les Frères Kip et le mentionne (partie 2, chapitre X) sous le nom francisé de Michel Baret[3].
Notes et références
↑John Pratt, Punishment and civilization: penal tolerance and intolerance in modern society, chapitre 1, Sage, 2002
↑D.J. Hickey & J.E. Doherty, A Dictionary of Irish History, Gill and Macmillan, Dublin, 1980, p. 26
↑Alexandre Tarrieu, Dictionnaire des personnes citées par Jules Verne, vol. 1 : A-E, éditions Paganel, 2019, p. 83
Liens externes
Notice dans un dictionnaire ou une encyclopédie généraliste :