Messeix

Messeix
Messeix
L'hôtel de ville de Messeix.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Auvergne-Rhône-Alpes
Département Puy-de-Dôme
Arrondissement Riom
Intercommunalité Communauté de communes Chavanon Combrailles et Volcans
Maire
Mandat
Jean-Pierre Turek
2020-2026
Code postal 63750
Code commune 63225
Démographie
Gentilé Messeiroux
Population
municipale
1 020 hab. (2021 en évolution de −4,32 % par rapport à 2015)
Densité 26 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 37′ 05″ nord, 2° 32′ 33″ est
Altitude Min. 570 m
Max. 863 m
Superficie 39,32 km2
Type Commune rurale à habitat dispersé
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Saint-Ours
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
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Liens
Site web messeix.fr

Messeix (/mə.sɛ/) est une commune française, située dans le département du Puy-de-Dôme, en région Auvergne-Rhône-Alpes.

Ses habitants, au nombre de 1 020 au recensement de 2021, sont appelés les Messeiroux.

Géographie

La Dordogne, en limite de la commune d'Avèze.

Localisation

La commune se situe en région Auvergne-Rhône-Alpes, dans le quart sud-ouest du département du Puy-de-Dôme. Elle est limitrophe du département de la Corrèze et de la région Nouvelle-Aquitaine, et n'est qu'à moins de dix kilomètres des limites départementales du Cantal et de la Creuse. Elle s'étend sur 39,32 km2 et comptait 1 020 habitants en 2021. Avec une densité de 27 habitants par kilomètre carré, Messeix a subi une forte baisse de 16,4 % de sa population[Quand ?] par rapport à 1999.

Communes limitrophes

Géologie et relief

Son altitude minimale, 570 mètres, se situe à l'ouest, là où le Chavanon quitte le territoire communal et continue en servant de limite naturelle entre Merlines et Savennes. L'altitude maximale avec 863 mètres est atteinte à l'extrême-est, en limite de Saint-Sulpice, sur les hauteurs qui surplombent les gorges de la Dordogne.

Hydrographie

La Dordogne au sud-est, la Clidane au nord et le Chavanon au nord-ouest sont les principaux cours d'eau qui bordent la commune, proche du parc naturel régional de Millevaches en Limousin.

Transports

Implanté à 763 mètres d'altitude, à la jonction des routes départementales 31, 73 et 73C, le bourg de Messeix est situé en distances orthodromiques 20 km au nord-est d'Ussel et 44 km au sud-ouest de Chamalières, la plus grande ville à proximité.

La commune est également desservie à l'est par la route départementale 987. Au nord, elle est traversée par l'autoroute A89 entre les viaducs du Chavanon et de la Clidane.

Climat

En 2010, le climat de la commune est de type climat de montagne, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[1]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat de montagne ou de marges de montagne et est dans la région climatique Ouest et nord-ouest du Massif Central, caractérisée par une pluviométrie annuelle de 900 à 1 500 mm, maximale en automne et en hiver[2].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 8,9 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 183 mm, avec 13,4 jours de précipitations en janvier et 8,7 jours en juillet[1]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Saint-Sulpice », sur la commune de Saint-Sulpice à 7 km à vol d'oiseau[3], est de 9,4 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 001,7 mm[4],[5]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[6].

Urbanisme

Typologie

Au , Messeix est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[7]. Elle est située hors unité urbaine[8] et hors attraction des villes[9],[10].

Occupation des sols

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (51,7 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (51,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (38 %), prairies (34,5 %), zones agricoles hétérogènes (17,2 %), zones urbanisées (5,7 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (4,7 %)[11]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Histoire

Petit glaive gallo-romain (tombe)[12]

Antiquité

Védrine

De nombreux vestiges antiques sont recensés sur ce site qui se trouve à 4 km au nord-ouest de Messeix[13].

En 1857 G. Grange mentionne la découverte d'un cimetière à incinération[14],[15] avec plus de cent coffres funéraires comme celui ci-dessous, près d'une « bourgade d'apparence populeuse et jugée opulente d'après les restes de substructions, la qualité des matériaux et des objets » (par exemple, fondations d'une maison avec des restes d'hypocauste). Le cimetière a livré plusieurs types de sépultures, dit-il aussi[16]. Il présente notamment un coffre funéraire à incinération[Note 1] avec son urne[17].

Le site internet de la commune indique que cette nécropole a livré des urnes en céramique sigillée et une sépulture, que plusieurs villae se trouvaient alentour et une canalisation en briques venait de la direction de Bialon et une voie gallo-romaine traversait le plateau de Védrine[18].

Un souterrain dit gallo-romain, plusieurs constructions romaines, d'hypothétiques villas et une voie romaine sont signalés[Où ?][19].

Époque contemporaine

Après la défaite militaire de , le maréchal Pétain, chef de l’État français, constitue des groupements militaires de jeunes, les chantiers de la jeunesse, destinés à remplacer l’armée française en zone non occupée. Pour l’installation d’un de ces camps, le commissariat régional de la province d’Auvergne choisit Messeix et des villages voisins dont Savennes, parce que les landes nombreuses se prêtent bien à son implantation et car le secteur est bien desservi en voies ferrées et gares. L’autorité préfectorale sollicite le maire de Messeix, élu depuis 1924, le docteur Moreau, médecin de la mine depuis 1905, radical-socialiste et l’engage vivement à tout faire pour favoriser cette installation du « groupement 22 » des chantiers de jeunesse. Les jeunes s’occuperont de plantations, de reboisement de terrains incultes, de réfection de chemins. Le 13 octobre 1943, la Wehrmacht soupçonnant des connivences entre le groupement 22 et les maquis opèrent une rafle des jeunes des chantiers de jeunesse. Le groupement 22 sera dissous fin octobre 1943.

À partir de 1943, le village de Messeix voit une partie de sa population acquise à la Résistance. Certains hommes sont affiliés aux maquis FTP influents sur le secteur (notamment en Corrèze) et d'autres se rassemblent sous Alfred Pabiot, instituteur local, pour former une compagnie d'une centaine de sédentaires. Cette compagnie de sédentaires dépend des Mouvements Unis de la Résistance dont la direction, pour le secteur Bourg-Lastic / Messeix, est assurée par le docteur Willy Mabrut de Bourg-Lastic. À compter du 15 mai 1944, cette compagnie de sédentaires (la 1re compagnie de la zone 3 des FFI d'Auvergne) se rend au camp de Saint-Genès-Champespe (Puy-de-Dôme) où, d'après Willy Mabrut lui-même, environ 5000 maquisards sont réunis sur place jusqu'au 15 juin 1944 dans le cadre de la stratégie combattante définie début mai par l'État-Major des FFI d'Auvergne dans la perspective du débarquement allié survenu le 6 juin en Normandie.

Le 12 juillet, au moins douze mineurs de Messeix sont arrêtés par la Wehrmacht qui opère des recherches et des interrogatoires dans la région depuis le 9 juillet. Ces opérations sont réalisées en réaction à l'embuscade tendue par des maquisards au Chavanon le 7 juillet à un convoi allemand circulant entre Clermont-Ferrand et Ussel. Sept mineurs arrêtés le 12 juillet sont fusillés le 15 juillet 1944 au camp militaire de Bourg-Lastic avec seize autres otages pris à Bourg-Lastic, Herment et en Creuse (Clairavaux près de la Courtine).

Politique et administration

Découpage territorial

La commune de Messeix est membre de la communauté de communes Chavanon Combrailles et Volcans[8], un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé le dont le siège est à Pontaumur. Ce dernier est par ailleurs membre d'autres groupements intercommunaux[20]. Jusqu'en 2016, elle faisait partie de la communauté de communes Sioulet-Chavanon[21].

Sur le plan administratif, elle est rattachée à l'arrondissement de Riom depuis 2017[Note 2], à la circonscription administrative de l'État du Puy-de-Dôme et à la région Auvergne-Rhône-Alpes[8]. Avant , elle faisait partie du canton de Bourg-Lastic[24].

Sur le plan électoral, elle dépend du canton de Saint-Ours pour l'élection des conseillers départementaux, depuis le redécoupage cantonal de 2014 entré en vigueur en 2015[8], et de la deuxième circonscription du Puy-de-Dôme pour les élections législatives, depuis le dernier découpage électoral de 2010 (troisième circonscription avant 2010)[24].

Élections municipales et communautaires

Élections de 2020

Le conseil municipal de Messeix, commune de plus de 1 000 habitants, est élu au scrutin proportionnel de liste à deux tours (sans aucune modification possible de la liste)[25], pour un mandat de six ans renouvelable[26]. Compte tenu de la population communale, le nombre de sièges à pourvoir lors des élections municipales de 2020 est de 15[27]. Les quinze conseillers municipaux sont élus au premier tour, le , avec un taux de participation de 67,14 %, se répartissant en : douze sièges issus de la liste de Jean-Pierre Turek et trois sièges issus de la liste de Florence Boueix[28].

Les quatre sièges attribués à la commune au sein du conseil communautaire de la communauté de communes Chavanon Combrailles et Volcans se répartissent en : trois sièges issus de la liste de Jean-Pierre Turek et un siège issu de la liste de Florence Boueix[28].

Chronologie des maires

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
1920 1944 Docteur Georges Moreau RGR Conseiller général du canton de Bourg-Lastic
1944 1959 Pierre Bascoulergue SFIO  
1959 1965 Marcel Pinson SFIO  
1965 1971 Jean Morellon RI puis UDF Médecin
Conseiller général du canton de Bourg-Lastic
Président du conseil régional d'Auvergne (1974-1977)
Député (1969-1981)
1971 1977 Paul Passelaigue Socialiste Employé à la Sécurité sociale minière
Conseiller général du canton de Bourg-Lastic (1979-1992)
1977 1983 Jean Morellon RI puis UDF Médecin
Conseiller général du canton de Bourg-Lastic
Président du conseil régional d'Auvergne (1974-1977)
Député (1969-1981)
1983 1995 Paul Passelaigue Socialiste Employé à la Sécurité sociale minière
Conseiller général du canton de Bourg-Lastic
1995 avril 2014 Gilles Battut Socialiste Conseiller général du canton de Bourg-Lastic
avril 2014 mai 2020 Marc Mangot[29] SE Agriculteur retraité
mai 2020 En cours Jean-Pierre Turek[30]   Chef d'entreprise paysagiste

Équipements et services publics

Eau et déchets

La collecte des déchets est assurée par le syndicat mixte de collecte et de traitement des ordures ménagères de la Haute-Dordogne. La déchèterie la plus proche est située à Saint-Sauves-d'Auvergne[31].

Elle appartient également au syndicat intercommunal d'alimentation en eau potable Clidane-Chavanon, les deux intercommunalités de gestion siégeant à Bourg-Lastic[32].

Enseignement

Messeix dépend de l'académie de Clermont-Ferrand. Elle gère une école primaire publique, allant de la maternelle au CM2[33].

Population et société

Démographie

Les habitants de la commune sont appelés les Messeiroux[34].

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[35]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[36].

En 2021, la commune comptait 1 020 habitants[Note 3], en évolution de −4,32 % par rapport à 2015 (Puy-de-Dôme : +2,28 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
1 6271 7381 7401 7621 8801 9311 9511 9862 091
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
2 2092 2142 1201 9142 0081 9522 0472 0552 104
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
2 0462 1482 3262 5663 0763 0172 9223 0803 366
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
3 5523 2362 5242 2001 5441 3391 1951 0891 044
2021 - - - - - - - -
1 020--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[37] puis Insee à partir de 2006[38].)
Histogramme de l'évolution démographique

Économie

Jusqu'en 1988, il y avait à Messeix une mine de charbon, aujourd'hui désaffectée.

Culture locale et patrimoine

Lieux et monuments

L'église Saint-Pierre

L’église Saint-Pierre de Messeix date du XIIe siècle. Des travaux ont eu lieu aux XIVe et XVe siècles, mais des éléments de la première église ont été conservés et réemployés. Ainsi, les modillons soutenant la corniche de toit qui représentent des visages ou des animaux sont d'origine romane. Une curieuse fenêtre gothique murée orne le chevet. À l'intérieur, l'élément le plus remarquable est le maître-autel et son retable de style baroque.

Le puits Saint-Louis, devenu musée de la Mine

Depuis le , date de sa création, l'« Association du musée du Puits Saint-Louis - Mine de Messeix », association reconnue d'intérêt général, s'est employée à sauvegarder l'essentiel des installations minières du puits Saint-Louis, ainsi que tout le matériel cédé par les HBCM (Charbonnages de France). Le musée de la Mine reproduit les conditions de travail des mineurs de fond. Il permet aux visiteurs de ressentir les sensations du mineur. De nombreux équipements y sont mis en valeur[39].

Musée de l'école rurale d'Auvergne

Le musée est situé dans l'ancienne école de Bogros. C'est à Pierrette Loiseau qu'est due l’initiative de ce musée, la réunion des collections et leur présentation. Le musée a pour objectifs de préserver la mémoire du passé, de permettre aux enfants d’aujourd’hui de découvrir l’école de leurs grands-parents et de mesurer le chemin parcouru depuis cette époque. Ce musée veut aussi être un message de souvenir aux anciens maîtres et aux enfants de la commune, qui se retrouveront dans les deux cents photos (de 1905 à 1965) présentées sur des panneaux et un album. La première salle est une classe reconstituée dans son authenticité. Après un passage au couloir vestiaire, où les enfants et les adultes revêtent une blouse noire ou grise et chaussent des galoches hautes, ils s’installent dans la salle de classe. Un bref commentaire sur l’historique de l’école de Jules Ferry précède la page d’écriture à la plume et à l’encre violette. La vie de l’écolier d’autrefois est évoquée. La deuxième salle est une salle d’exposition d’objets d’écolier, de vêtements, jouets, livres, cahiers, objets usuels de la vie quotidienne de cette époque[40].

Personnalités liées à la commune

Voir aussi

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Articles connexes

Bibliographie

  • Paul Brugière, Si Messeix m'était conté, Nohanent,
  • Laurent Battut, Le groupement 22 des Chantiers de Jeunesse 1940-1944, Anovi,

Liens externes

Notes et références

Notes et cartes

  • Notes
  1. Pour les coffres funéraires dans le Puy-de-Dôme, voir [Tournadre et al. 2015] Michaël Tournadre, Pierre M. Ganne, Sylvain Chardonnet, Hervé Delhoofs, Frédéric Surmely et Clémençon Bernard, « Les coffres funéraires gallo-romains dans le département du Puy-de-Dôme. Rapport de prospection archéologique thématique 2015 : communes de Gouttières, Charensat et Saint-Gervais-d’Auvergne », SRA Auvergne, Opération archéologique no 7804,‎ (lire en ligne [sur academia.edu], consulté le ), p. 10. ces auteurs reprennent le dessin de Grange 1857, planche 29.
  2. Les limites territoriales des cinq arrondissements du Puy-de-Dôme ont été modifiées afin que chaque nouvel établissement public de coopération intercommunale à fiscalité propre soit rattaché à un seul arrondissement au [22]. La communauté de communes Chavanon Combrailles et Volcans à laquelle appartient la commune est rattachée à l'arrondissement de Riom ; ainsi, Messeix est passée le de l'arrondissement de Clermont-Ferrand à celui de Riom[23].
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références

  1. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  2. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  3. « Orthodromie entre Messeix et Saint-Sulpice », sur fr.distance.to (consulté le ).
  4. « Station Météo-France « Saint-Sulpice », sur la commune de Saint-Sulpice - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Saint-Sulpice », sur la commune de Saint-Sulpice - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  6. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  7. « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  8. a b c et d Insee, « Métadonnées de la commune de Messeix ».
  9. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  10. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  11. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole) », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  12. Grange 1857, planche 23, explications p. 28.
  13. « Védrine et Bialon dans le nord-ouest de la commune de Messeix, carte interactive » sur Géoportail. Couches « Cartes IGN classiques », « Limites administratives » et « Hydrographie » activées.
  14. Gustave Grange, Mélanges archéologiques ou recueil de dessins d'objets, vases, sceaux, monnaies et fragments antiques trouvés dans différentes localités d'Auvergne, Clermont-Ferrand, Ferdinand Thibaud, (lire en ligne), voir les explications de la pl. 29, p. 31.
  15. Christine Mennessier-Jouannet, « Les nécropoles rurales d'époque romaine en Auvergne » (Actes du Colloque ARCHEA/AGER (Orléans, 7-9 février 1992)), Supplément à la Revue archéologique du centre de la France, no 6 « Monde des morts, monde des vivants en Gaule rurale »,‎ , p. 285-298 (lire en ligne, consulté le ), p. 289.
  16. Grange 1857, explications de la planche 27, p. 30.
  17. Grange 1857, planche 29, et explications de la planche p. 31.
  18. « Messeix » > « Historique », sur messeix.fr (consulté le ).
  19. Michel Provost et Christine Mennessier-Jouannet (dir.), Le Puy-de-Dôme, Paris, Académie des inscriptions et belles-lettres, coll. « Carte archéologique de la Gaule » (no 63/2), , 374 p. (ISBN 978-2-87754-031-5), p. 188-189.
  20. « CC Chavanon Combrailles et Volcans (No SIREN : 200071215) », sur la base nationale sur l'intercommunalité, (consulté le ).
  21. « CC de Sioulet Chavanon (No SIREN : 246301071) », sur la base nationale sur l'intercommunalité, (consulté le ).
  22. « Modification des limites territoriales des arrondissements du Puy-de-Dôme au  », sur puy-de-dome.gouv.fr, Préfecture du Puy-de-Dôme, (consulté le ).
  23. Préfecture de la région Auvergne-Rhône-Alpes, « Arrêté no 16-536 du 21 décembre 2016 portant sur les modifications des limites territoriales des cinq arrondissements du Puy-de-Dôme » [PDF], Recueil des actes administratifs no 63-2016-065, sur puy-de-dome.gouv.fr, Préfecture du Puy-de-Dôme, (consulté le ), p. 211-214.
  24. a et b « Découpage électoral du Puy-de-Dôme », sur Politiquemania (consulté le ).
  25. Loi no 2013-403 du relative à l'élection des conseillers départementaux, des conseillers municipaux et des conseillers communautaires, et modifiant le calendrier électoral, article 51, et son décret d'application no 2013-938 du .
  26. « Election des conseillers municipaux et du maire », sur le site de la DGCL.
  27. Article L. 2121-2 du code général des collectivités territoriales.
  28. a et b « Résultats des élections municipales et communautaires 2020 », sur interieur.gouv.fr, Ministère de l'Intérieur (consulté le ).
  29. « Liste des Maires du Puy-de-Dôme » [PDF], Préfecture du Puy-de-Dôme, (consulté le ).
  30. « Liste des Maires du Puy-de-Dôme » [PDF], sur mairesruraux63.fr, Association des maires ruraux du Puy-de-Dôme (consulté le ), p. 5.
  31. « Collecte des déchets », sur le site de la mairie, consulté le 21 mars 2017.
  32. « Intercommunalité », sur le site de la mairie, consulté le 21 mars 2017.
  33. « École », sur le site de la mairie, consulté le 21 mars 2017.
  34. « Un peu d'histoire », sur le site de la mairie (consulté le ).
  35. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  36. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  37. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  38. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  39. L'aventure humaine continue avec Minérail.
  40. Le Musée de l'école rurale.