Meredith Andrea Yearsley si elle est née dans la grande ville de Toronto, elle grandit dans la campagne plus précisément à Argenta(en) dans la Province de la Colombie-Britannique, Argenta ville de Quakers puis qui est devenue à partir des années 1960 un haut lieu de la contre-culture canadienne. Elle a passé son enfance et son adolescence dans un paysage de parc nationaux, de grands lacs et en côtoyant des personnes aussi diverses que des déserteurs et des pacifistes américains qui fuyaient la guerre du Viet Nam. Les pacifistes américains apportaient dans leurs bagages les idées contestataires de la côte ouest, la culture hippie, etc.
Avec son mari Peter Quartermain elle a fondé la maison d'édition Nomados Literary Publishers[4]
Meredith Quartermain s'est fait connaître par sa thématique centrée sur les lieux historiques du Canada marqués par des événements, et sur leurs représentation collective et l'imaginaire qui les entoure.
Elle publie régulièrement dans des revues et magazines tels que Canadian Literature[5], Jacket2[6], Literary Review of Canada[7], Matrix, The Capilano Review[8], West Coast Line[9], CV2[10], Event Magazine, filling Station[11], Prism International[12], Raddle Moon, Chain, Sulfur, Tinfish[13], East Village Poetry Web[14], etc.
(en) Mona Fertig & Harold Rhenisch, Rocksalt: An Anthology of Contemporary BC Poetry, Mother Tongue, , 288 p. (ISBN9781896949017),
(en-CA) A.F. Mortiz (préf. Molly Peacock), The Best Canadian Poetry in English 2009, Toronto, Ontario, Tightrope Books, , 157 p. (ISBN9781926639031, lire en ligne), p. 71,
(en) Susan Musgrave, Force Field: 77 Women Poets of British Columbia, Mother Tongue, , 400 p. (ISBN9781896949253),
Articles
Vancouver Walking by Meredith Quartermain, article rédigé par Jenna Butler pour la "Poetry Review Canada", 2006[18].
An Interview with Meredith Quartermain, menée par Daphne Marlatt, pour la revue "CWILA", 2012[19],
‘Rupert’s Land’ by Meredith Quartermain, recension faite par Rachel Carlson pour la "Winnipeg Review", 2013[20],
I, Bartleby – Meredith Quartermain, par Daniel Green pour la revue "Full Stop", 2015[21],
Fiction Review by Matthew K. Thibeault, article paru dans la "Malahat Review", 2015[22],
How A Novel Finds And Expresses Itself: A Review of Meredith Quartermain’s “U Girl”, par Andrea Westcott pour la revue "Prism International", 2017[12],
Review: Vancouver novel a whimsical pleasure, par James Wood pour le magazine Vancouver Sun, 2016[23],
Book review: U Girl is a tidal wave of emotion that UBC students will relate to, par Alyssa Low pour le magazine "The Ubissey", 2016[24],
An interview with Meredith Quatermain, menée par Rob MClellan pour la revue "Queen Mobs", 2015[25],
↑ a et b(en-US) « How A Novel Finds And Expresses Itself: A Review of Meredith Quartermain’s “U Girl” », PRISM international, (lire en ligne, consulté le )
↑(en-US) « Review: Vancouver novel a whimsical pleasure », Vancouver Sun, (lire en ligne, consulté le )
↑(en) Alyssa Low, « Book review: U Girl is a tidal wave of emotion that UBC students will relate to », The Ubyssey, aug. 9, 2016 (lire en ligne, consulté le )
↑(en-GB) « An Interview with Meredith Quartermain », Queen Mob's Tea House, (lire en ligne, consulté le )