En 2001, elle publie un opuscule sur les particularités du français tel qu'il est parlé au Cameroun[2]. Selon Henry Tourneux, linguiste au CNRS, cet essai est « un complément vivant aux nombreuses études contemporaines consacrées à la ville africaine »[2].
Elle se fait connaître pour son théâtre[3],[4], en montant des pièces au Cameroun et en Europe[2].
↑Désiré Nyela, « Parlure camerounaise, humour francophone : À propos de 'Je parle camerounais. Pour un renouveau francofaune' de Mercédès Fouda », Initial(e)s, vol. 20, , p. 105–121 (lire en ligne [PDF], consulté le )
Peter Wuteh Vakunta, « Camfranglais—The Making of a New Language in Fouda's "Je parle camerounais" and Fonkou's "Moi taximan" », The Journal of the Midwest Modern Language Association, vol. 44, no 2, , p. 93–110 (ISSN0742-5562, lire en ligne, consulté le ).
Sylvie Chalaye, L'Afrique noire et son théâtre au tournant du XXe siècle, Presses Univ. de Rennes, coll. « Plurial », (ISBN978-2-86847-632-6).