Dès le XIXe siècle, l'exploitation des carrières de Meillerie permet d'extraire les pierres calcaires qui seront utilisées pour édifier de nombreuses constructions dans les villes côtières lémaniques françaises et suisses dont, notamment, la seconde gare de Genève-Cornavin, construite entre 1929 et 1931, ainsi que l'ensemble architectural du Palais des Nations de Genève, siège de la Société des Nations construit durant la même période.
Géographie
Situation
Le territoire de la commune de Meillerie est situé dans le sud-est de la France, au nord du département de la Haute-Savoie, sur la rive sud du Léman, à l’extrême nord du massif du Chablais, dans le quart nord-ouest des Alpes françaises.
À l’échelle nationale, la mairie de Meilerie (chef-lieu) est située :
à 68 kilomètres au nord d'Annecy, préfecture de la Haute-Savoie, à 162 kilomètres au nord-est de Lyon, préfecture de la région Auvergne-Rhône-Alpes, à 156 kilomètres au nord de Grenoble, à 428 kilomètres, au sud-est de Paris (en ligne droite),
et, au niveau local :
à 45 kilomètres de la ville suisse de Genève, 10 km d'Évian-les-Bains, et 7 km de Saint-Gingolph, commune située sur la frontière franco-suisse.
Description
La commune comprend un bourg, de taille modeste et le hameau de Locum, de taille encore plus modeste, situé près de la commune voisine de Saint-Gingolph. Ces deux parties résidentielles de la commune, coincées entre la rive sud du Léman et les pentes septentrionales très abruptes du massif du Chablais sont reliées entre elles par une seule route, qui longe la côte lacustre.
Le petit bourg central de Meillerie, traversé par cette route, est un ancien village de pêcheurs, avec sa batellerie lacustre, mais aussi de carriers officiant dans la montagne. L'église du village et son cimetière surplombent la plus grande partie du bourg avec son port, ainsi que le lac, offrant une vue sur la riviera vaudoise et le vignoble vaudois de Lavaux.
La commune est riveraine du lac franco-suisse, le Léman
Son territoire est également sillonné par trois ruisseaux, tous affluents du lac et donc, indirectement du Rhône:
Le ruisseau de la Corne
Le ruisseau des Étalins
Le ruisseau du Locum
Géologie et relief
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Climat
Le climat est de type montagnard en raison de la présence du massif alpin, mais quelque peu tempéré par la proximité du Léman.
Voici, ci-dessous un tableau de températures présentant un relevé de celles-ci sur cinq années, effectué sur le territoire de la commune de Sciez, située à 30 kilomètres de Meillerie.
Le Léman était jusqu'au début du XXe siècle la principale voie de transit des pondérables : bois, céréales, chaux et surtout les fameuses pierres de Meillerie que l'on retrouve sur des grands bâtiments de Genève et de Lausanne. Extraites des carrières de la commune, elles étaient chargées sur les barques du Léman. Un service de passagers sur les bateaux de la CGN était assuré, pendant la saison estivale, jusqu'en l'an 2000.
Transports publics
Ligne d'autocar
Une ligne d'autocar traverse le territoire communal, la ligne 131 (Thonon-les-Bains ↔ Saint-Gingolph) qui compte deux arrêts Meillerie - chef-lieu et Mellerie - Locum sur le territoire communal.
Celle-ci est exploitée par la société des autos transports du Chablais et du Faucigny (SAT) et dépend des transports en commun d'Évian-les-Bains (ÉVA'D).
Galerie
Vue de la commune depuis le Léman.
Plan du territoire de Meillerie.
Le Léman depuis les Rochers de Naye. Les carrières de Meillerie sont identifiables sur la rive gauche du lac.
Urbanisme
Typologie
Au , Meillerie est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[3].
Elle est située hors unité urbaine[Insee 1] et hors attraction des villes[4],[5].
La commune, bordée par un plan d’eau intérieur d’une superficie supérieure à 1 000 hectares, le Léman, est également une commune littorale au sens de la loi du , dite loi littoral[6]. Des dispositions spécifiques d’urbanisme s’y appliquent dès lors afin de préserver les espaces naturels, les sites, les paysages et l’équilibre écologique du littoral, comme par exemple le principe d'inconstructibilité, en dehors des espaces urbanisés, sur la bande littorale des 100 mètres, ou plus si le plan local d’urbanisme le prévoit[7].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnéeseuropéenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (92,3 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (88 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante :
forêts (92,3 %), zones agricoles hétérogènes (2,5 %), prairies (2,3 %), zones urbanisées (2,2 %), eaux continentales[Note 1] (0,8 %)[8].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols en 2018 (CLC) de la commune.
Carte orthophotogrammétrique de la commune.
Morphologie urbaine
La commune comptait 354 logements en 2014, dont 161 résidences principales (45,5 % du parc), 141 logements secondaires (39,9 % du parc) et 52 logements vacants (14,6% du parc). 38,4 % de ces logements étant des maisons individuelles et 60,2 % des appartements[Insee 2]. Cette proportion peut sembler curieuse pour une aussi petite commune mais qui trouve une explication en lien avec son passé industriel.
La commune se compose d'un chef-lieu et de deux hameaux :
le Locum (prononcer : locome) situé au bord du lac,
les Plantés en moyenne montagne.
Le territoire présente également de nombreux écarts et lieux-dits, tous inhabités. Ceux-ci présentés, ci-dessous, selon les références toponymiques fournies par le site géoportail de l'Institut géographique national[9].
le Cottelet
Lausenette
Lachaux
le Tronc
la Fauconnière
les Étalins
les Plagnes
les Reboux
la Pesse Vache (bois)
les grandes feuillases (bois)
Risques naturels
Risques sismiques
La totalité du territoire de la commune de Meillerie est situé en zone de sismicité n°4, comme l'ensemble des communes savoyardes riveraines du Léman[10].
La plus ancienne forme retrouvée date du XIe siècle, Melleria, mais au cours du temps, ce nom a souvent changé. On peut également trouver Malleria ou Milleria.
C'est au XIXe siècle que l'on trouve le plus grand nombre de versions différentes : Melliéré, Meilleré, Meilleré-sous-Thollon, Meilleré-en-Chablais, Milliéré.
D'après l'abbé Gonthier, le nom de Meillerie viendrait d'un mot celte signifiant « rochers ». Ce nom est porté par plusieurs localités et lieux-dits en France et en Suisse : par exemple, La Meilleraie-Tillay en Vendée, et la Tête de Meilleret au-dessus du village des Diablerets dans les Préalpes vaudoises.
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Moyen Âge et Renaissance
Au Moyen Âge, lorsque Meillerie se trouve sous la prévôté du Grand Saint-Bernard, le village ne compte que deux-cents habitants. La commune est protégée par le prévôt, mais en situation de dépendance et vit essentiellement de l'exploitation du bois produit par la forêt de Meillerie, ainsi que de la pêche et du commerce de la navigation.
C'est en 1166 qu'un premier document sur Meillerie (Maleria) apparaît. Celui-ci fait état du don de Meillerie et de ses territoires appartenant au diocèse de Lausanne, à l'abbé Rodulfus de l'abbaye Saint-Maurice d'Agaune par l'évêque de Lausanne, et ceci pour une livre de poivre chaque année à lui-même ainsi qu'à ses successeurs.
Au XIIe siècle s'installe à Meillerie une communauté de chanoines réguliers de Saint-Augustin. Ces chanoines possédaient déjà une église et un bâtiment conventuel, mais dans la première moitié du XIIIe siècle, des seigneurs locaux, grâce à une dotation, leur permettent de reconstruire l'ensemble des bâtiments (dont une partie est encore visible au prieuré de Meillerie).
Deux des prieurs de Meillerie, Pierre et Martin, deviennent prévôts du Grand Saint-Bernard, et font de ce prieuré leur résidence principale, ainsi que le centre religieux et administratif de la prévôté. Non seulement Meillerie devient un centre politique et religieux important de la région lémanique, mais également le centre d'une vaste seigneurie qui englobe Thollon-les-Mémises, Lugrin, et Maxilly.
Au XVe siècle, les prévôts délaissent peu à peu Meillerie, et les affrontements avec Évian, au sujet du bois de Bret, s'intensifient à tel point que les habitants de Meillerie sont contraints de demander l'aide de ceux de Thollon en 1532. C'est à partir de cette date que Meillerie devient un hameau de Thollon.
Les chanoines réguliers restent à Meillerie jusqu'en 1752, date à laquelle la prévôté est démembrée, et c'est l'Ordre des saints Maurice et Lazare qui reçoit Meillerie et y installe un curé.
Temps modernes
Le XVIIIe siècle
En septembre 1754, l'écrivain Jean-Jacques Rousseau visite le site de Meillerie à l'occasion d'un tour complet du Léman, dont on trouve quelques clés d'explication de son œuvre[13]. « La route qui longe le lac et relie Evian, Meillerie et Saint-Gingolph a été construite sous Napoléon. Au XVIIIe siècle, Meillerie était un village à flanc de falaise qu'on ne pouvait atteindre que par le lac. Il est clair que ce passage par Meillerie inspire directement l'un des plus beaux textes de Jean-Jacques Rousseau dans "La nouvelle Héloïse"[13]. »
Époque contemporaine
Les XVIIIe et XIXe siècles
Pendant la Révolution française, une troupe de grenadiers est détachée à Meillerie et logée par la municipalité de Thollon dans le prieuré.
En 1803, Meillerie est érigé en paroisse portant le nom de Saint-Bernard. Le nombre important de paroissiens oblige la municipalité de Thollon à construire une nouvelle nef dans le prieuré, et à abandonner l'ancienne église paroissiale située au bord du lac.
C'est au XIXe siècle, avec l'essor de l'industrie de sa pierre calcaire de qualité que Meillerie connait son âge d'or. En un peu moins de cent ans l'évolution démographique est importante : de 1806 à 1904 le nombre d'habitants passe de 406 à 1 084 personnes mais le village est peu adapté à accueillir une concentration humaine si importante. La population y est entassée dans cette pente abrupte, les sont maisons étroites, en hauteur, et les escaliers pentus. L'insalubrité s'y installe : les ordures et le fumier côtoient alors les maisons, en absence d'eau potable la population boit l'eau du torrent ou du lac.
Le village, plus particulièrement la rue des pêcheurs datant du XVIIIe siècle, centre de la vie populaire, est rythmé par les allers et retours, et les chassés-croisés des carriers et des bateliers.
La route nationale, construite au XIXe siècle, abrite une population bourgeoise, les maisons y sont plus modernes et on y retrouve des édifices publics tels que la mairie, l'école et la poste.
Enfin, en 1860, en même temps que l'annexion de la Savoie par l'empire français, Meillerie est séparée de la commune de Thollon. La limite entre Meillerie et la commune de Thollon est modifiée par décret le .
Le XXe siècle
Au XXe siècle, en quarante ans, la population diminue, se réduisant à 473 habitants en raison de la Première Guerre mondiale, de la suppression de la zone franche et de l'apparition du béton armé qui ont entraîné la fermeture des carrières à Meillerie. Les hommes sont donc amenés à quitter le village.
Le XXIe siècle
Depuis quelques années la commune connait alors un léger renouveau avec une population d'environ 350 habitants, en raison de la proximité de la frontière suisse. Meillerie espère aussi obtenir des retombées économiques supplémentaires grâce à la mise en valeur de son patrimoine.
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Population et société
Ses habitants sont appelés les Meillerons[C 2],[17]. On trouve la forme Meilleran(e)s sur le site sabaudia.org[18].
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1861. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations de référence des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[19]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[20].
En 2022, la commune comptait 301 habitants[Note 2], en évolution de −6,52 % par rapport à 2016 (Haute-Savoie : +6,01 %, France hors Mayotte : +2,11 %).
Ne bénéficiant plus de structures scolaires sur son territoire, les enfants en âge de scolarisation sont inscrits dans l'école de la commune voisine de Lugrin, la gestion des transports scolaires ayant été déléguée à la Communauté de Communes à laquelle appartient Meillerie.
Environnement
Il existe plusieurs points de collecte sur le territoire communal, la déchetterie intercommunale étant située route de Thollon à Lugrin, non loin du territoire communal[C 3].
Équipement sportif
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La presse écrite locale est représentée par des titres comme Le Dauphiné libéré (édition de Thonon et du Chablais), L'Essor savoyard (édité à Thonon), Le Messager (édition Chablais), le Courrier savoyard.
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Tourisme
En 2017, la capacité d'accueil de la commune, estimée par l'organisme Savoie Mont Blanc, est de 728 lits touristiques répartis dans 143 structures[Note 3]. Les hébergements se répartissent comme suit : 2 meublés et un hôtel[26], situé sur le bord du Léman.
ce port a été construit pour y accueillir les barques lémaniques afin de transporter les pierres des carrières de la commune vers les villes bordées par le Léman. Sa rue des Pêcheurs et les maisons en façade du Léman ajoutent un cachet historique au lieu ;
Le site des carrières situés sur le secteur des Étalins et de la Balme domine le bourg de Meillerie.
Sites naturels
Le littoral lémanique
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Meillerie dans les arts
Dans la littérature
Julie ou la Nouvelle Héloïse de Jean-Jacques Rousseau :
roman épistolaire de Jean-Jacques Rousseau, Julie ou la Nouvelle Héloïse est parue en 1761 chez Marc-Michel Rey. Il évoque les amours passionnées entre Julie d’Étange, une jeune noble, et son précepteur, Saint-Preux dans le cadre romantique du Léman. le passage le plus connu de cet épisode romantique évoque un coup de vent, alors qu'ils se promènent en barque sur le lac, au large du petit village de pêcheurs de Meillerie, entre Évian et Saint-Gingolph.
Le village de Meillerie y fut donc citée par Jean-Jacques Rousseau dans ce roman, dont voici l'extrait, ci-dessous :
«
Tandis que nous nous amusions agréablement à parcourir ainsi des yeux les côtes voisines, un séchard, qui nous poussait de biais vers la rive opposée, s'éleva, fraîchit considérablement ; et quand nous songeâmes à revirer, la résistance se trouva si forte qu'il ne fut plus possible à notre frêle bateau delà vaincre. Bientôt les ondes devinrent terribles : il fallut regagner la rive de Savoie, et tâcher d'y prendre terre au village de Meillerie qui était vis-à-vis de nous, et qui est presque le seul lieu de cette côte ou la grève offre un abord commode. Mais le vent ayant changé se renforçait, rendait inutiles les efforts de nos bateliers, et nous faisait dériver plus bas le long d'une file de rochers escarpés où l'on ne trouve plus d'asile. »
Le prieur de Meillerie de Sidonie Bochaton (éditions Cabédita, roman historique, 2016).
Le lépreux de Lugrin de Sidonie Bochaton (éditions Cabédita, roman historique, 2019).
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Au cinéma et à la télévision
Cinéma
Les premières images d'un film dont le scénario a été écrit par Jean Cocteau, présente le port de Meillerie et le Léman au niveau de la côte entre les ports de Saint-Gingolph et Meillerie :
D'azur à la barque de Meillerie, la coque et le mât au naturel, aux deux voiles triangulaires d'argent,une flamme de gueules à la croix d'argent flottant vers senestre, attachée à la mâture surmontée d'une fleur de lys aussi d'argent, ladite barque accostée de deux colonnes du même posées chacune sur un mont de sinople mouvant de la pointe, celle de dextre surmontée d'une losange d'or, celle de sénestre d'une étoile du mème, au chef cousu de gueules chargée d'une croix d'argent.
Voir aussi
Bibliographie
Henri Baud, Jean-Yves Mariotte, Histoire des communes savoyardes : Le Chablais, Roanne, Éditions Horvath, , 422 p. (ISBN978-2-7171-0099-0), p. 351-355, « Le canton d'Evian-les-Bains », 385-387, « Meillerie ».
Jean-François Gonthier, « Le Bois de Bret », dans Œuvres historiques, Thonon-les-Bains, 1901-1903, chap. 3
Lucien Quaglia, « Meillerie et la prévoté du Grand-Saint-Bernard », dans Annales valaisannes, , brochure
↑Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
↑Population municipale de référence en vigueur au 1er janvier 2025, millésimée 2022, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2024, date de référence statistique : 1er janvier 2022.
↑La structure Savoie Mont Blanc, pour ces données statistiques de capacité d'accueil en termes de lits touristiques d'une station ou d'une commune, additionne les établissements marchands, qui appartiennent au secteur de l'hôtellerie, et les hébergements non marchands, qui n'impliquent donc pas de transaction commerciale comme les résidences secondaires[26].
Cartes
↑IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
Données Insee
Données Insee de la commune de Meillerie (74175), ([lire en ligne])
↑Lexique Français : Francoprovençal du nom des communes de Savoie : Lé Kmoune in Savoué, Bruxelles, Parlement européen, , 43 p. (ISBN978-2-7466-3902-7, lire en ligne), p. 17
↑Michel Germain, Jean-Louis Hebrard et Gilbert Jond, Dictionnaire des communes de Haute-Savoie, Éditions Horvath, , 450 p. (ISBN978-2-7171-0933-7), p. 206.
↑ a et b« La capacité d'accueil touristique en Savoie-Mont-Blanc », Observatoire, sur le site Savoie-Mont-Blanc - pro.savoie-mont-blanc.com, (consulté en ) : « Les données détaillées par commune, et par station : nombre de structures, nombre de lits par type d'hébergements (fichier : Détail des capacités 2017, .xlsx) ».