Ses œuvres des années 1950 inaugurent son concept de « trompe-l'œil provoqué » ; réalisées généralement sur des panneaux de bois ou d'isorel, de larges bandes étalent des formes anthropomorphes qui se détachent de fonds en dégradés, formes qui deviendront plus allusives et plus texturées dans les années 1970. À partir de 1980, la figure devient centrale dans son étude du mouvement et du relief. Des personnages aux traits génériques ou empruntés à des personnalités médiatiques occupent un espace pictural donnant une illusion de diorama.