Sa production, particulièrement abondante et polymorphe, fut publiée avant-guerre par la maison d'édition Ferenczi & fils (éditeur) (dans les collections « Le petit roman d'aventures », « Voyages et aventures », « Mon roman d'aventures » et « Mon roman policier ») puis principalement au Fleuve noir — dont il deviendra l'un des piliers — pour ses œuvres de science-fiction et à la Société des Éditions Générales (S.E.G - coll. « 078 Services Secrets ») pour ses romans d'espionnage. Féru d'occultisme, il s'essaya aussi au fantastique, au théâtre et à la poésie. Au milieu des années 1950, il a également brièvement collaboré au journal IMA, l'ami des jeunes, une revue de bandes dessinées.
Il a publié des romans sous divers pseudonymes, notamment Maurice Lionel, Maurice d'Escrignelles, Lionel Rey, Lionel Rex et Jean Scapin.
Crocodilopolis, « Mon roman d'aventures », no 309, 1954.
Signée Maurice d'Escrignelles
L'Émeraude du Nil, coll. « Le Petit Roman d'aventures », no 34, 1936
Le Capitaine Jaguar, coll. « Le Petit Roman d'aventures », no ??, 1936
L'Île aux pieuvres, coll. « Le Petit Roman d'aventures », no 49, 1937
Les Captives du Rajah rouge, coll. « Le Petit Roman d'aventures », no ??, 1940
Signée Jean Scapin
La Matraque du fantôme, coll. « Le Petit Roman policier » no 7, 1938 pour la première édition chez Ferenczi & fils puis dans la série « Mon roman policier » en 1951.
La Maison du frisson, éditions Roger Garry, coll. « Mémoires d'outre-ciel » no 24, 1982.