Son deuxième film, Portraits chinois, amène la critique à écrire : « L'attention aigüe de Dugowson pour la vie intérieure de ses personnages montre le don innné d'une réalisatrice qui va indubitablement s'améliorer au fil du temps[4] ». Ce film vaut à Martine Dugowson le prix de la meilleure réalisation au festival international du film de Karlovy Vary en 1997.
Son troisième long métrage, Les Fantômes de Louba, montre selon la critique « cette même fêlure, ténue, discordante, qui, décidément, ressemble à la signature de Martine Dugowson[5] ».
Filmographie
1985 : En faisant le ménage, j'ai retrouvé Albert.