Il a ensuite été recruté par Studios Olympic à Londres. Sa succursale y a fait l'objet d'un co-investissement entre la maison de disque EMI et lui. EMI paya ainsi pour la construction du studio, et Mark Stent paya pour le matériel. Durant la période où il y a travaillé, il lui fut confié le mixage de plusieurs albums du groupe KLF, ce qui lui permit de commencer à étendre sa notoriété.
La société de logiciels musicaux professionnels Waves a récemment reproduit virtuellement sa console de mixage afin d'en faire un plugin, destiné aux musiciens qui souhaiteraient s'inspirer de son travail[3].
Origine du surnom
Il reçut son surnom Spike (littéralement "pointe") en 1987, alors qu'il travaillait en tant qu'ingénieur du son pour le producteur John Paul Jones, sur un album du groupe The Mission. Les membres de ce groupe ne parvenaient pas à mémoriser son nom, mais retenaient sa coupe de cheveux, et le surnom est resté[2].