Biographie| Naissance | |
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| Décès | |
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| Nom de naissance |
Marie-Aimée Madeleine Pauline Joséphine Warrot |
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| Surnom |
Marie-Aimée Varro |
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| Activités | |
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Autres informations| Instrument |
Piano |
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| Genre artistique |
Romantisme |
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Marie-Aimée Warrot est une pianiste française, puis canadienne, née le 18 février 1915 à Brunoy, près de Paris[1], et morte le 14 septembre 1971 en Suisse à Neuchâtel.
Biographie
À sept ans elle donne son premier récital de piano[2]. Dès ses neuf ans, elle fréquente le Conservatoire national de musique de Paris, jusqu'à ses quinze ans, où elle remporte le premier prix de piano[2]. Elle sera l’élève de Robert Casadesus et Alfred Cortot, et étudiera également à Vienne, en Autriche, avec le grand pianiste Emil von Sauer, qui avait été l'élève de Franz Liszt et de Nicolas Rubinstein[3].
Sa tournée musicale en Europe est interrompue par la Seconde Guerre mondiale. Elle reprend en 1944, englobant l'Amérique du Nord en 1955, date à laquelle elle part habiter au Canada[2]. Elle vivra à Vancouver, puis à Halifax et sera naturalisée canadienne en 1960[3].
Elle donne, à la télévision et à la radio, des récitals, et se produit avec plusieurs des grands orchestres européens et d’Amérique du nord[2]. En 1967, elle créa le Concerto de Jean Coulthard[3]. En 1969, avec son mari, le professeur Claude Treil de l'Université Bishop, Marie Aimée Warrot part s'installer dans les Cantons-de-l'Est[2]. Elle a enregistrée deux disques, le premier en 1970 et le deuxième en 1971, qui rencontrent un grand succès[2]. En mars 1971, au Théâtre Centennial de l'Université Bishop, elle donne un dernier récital[2]. Elle décède le 14 septembre 1971 en Suisse, à Neuchâtel[3].
Discographie
Références
Liens externes
