Elle a sauvé de nombreuses personnes condamnées à mort à l'hôpital, aidé à l'évasion de plusieurs prisonniers de guerre, et était également responsable d'un service de renseignements de la résistance ainsi que d'un réseau de faux papiers[1].
Après avoir été torturée à Besançon (Hôtel de Clévans), Sœur Marcelle Baverez est déportée au camp de concentration pour femmes de Ravensbrück, où elle décède le [2].