Le , il est élu à la tête de la FFR, au terme du congrès de Clermont-Ferrand, en remplacement de Jean Delbert. Il arrive au pouvoir dans le contexte bien particulier d'une prise de pouvoir avec les « gros pardessus », Guy Basquet et Albert Ferrasse, à qui il laissera la présidence un an plus tard pour prendre celle de la FIRA[2] de 1968 à 1989.