En lien avec le violent conflit social de Santa Cruz de 1921, connu sous le nom de Patagonie rebelle, il se rendit sur place pour y superviser la formation de filiales (brigades) de la Ligue patriotique (en l’espèce quasi intégralement composées d’étrangers), puis regagna promptement Buenos Aires. Ultérieurement, il revint à Río Gallegos pour présenter un dernier salut à la dépouille de Varela, militaire chargé de la répression et assassiné par un anarchiste, et apporta son soutien à Pérez Millán, membre de la Ligue et assassin en 1923 du meneur ouvrier et militant anarchiste Wilckens.
Il mourut à Buenos Aires le [5], à l’âge de 71 ans[2]. Le , ses restes furent inhumés au cimetière El Salvador de sa ville natale de Rosario[2].
Publications
Manuel Carlés fit paraître de nombreux ouvrages, dont notamment :
Organización de la soberanía (littér. Organisation de la souveraineté)
↑(es) « Efemérides de mayo » [archive du ] (consulté le ) : « En 1875 nace en Rosario el doctor Manuel Carlés, político, legislador y escritor, autor de la ley de propiedad literaria. »