Elle a écrit de nombreux articles sur la possibilité de faire de l'histoire portant sur la période post-indépendance et fait partie des premiers historiens à s'attacher à cette période[2]. Elle anime un carnet de recherche en français, anglais et arabe intitulé Textures du temps[3], dans lequel de nombreux jeunes historiens travaillant sur l'Algérie contemporaine partagent leurs travaux et leurs questionnements, et où ils réagissent en historiens à l'actualité[4]. Elle co-anime avec Antoine Rivière le projet « La personne et son dossier » qui explore, autour des différents types de dossiers nominatifs les relations entre témoins, historiens et archivistes[réf. nécessaire]. Elle co-anime avec Fabrice Riceputi le projet « Mille autres »[5] sur les personnes victimes de disparition forcée durant la bataille d'Alger (1957)[6].
Publications
Ali Boumendjel. Une affaire française, une histoire algérienne, Paris : Belles Lettres, 2010 et Alger : Barzakh, 2011.
Comment faire l’histoire de l’Algérie indépendante ?[7].
↑Jean Leca, « Les démocraties à la conquête des âmes dans les guerres asymétriques: problèmes généraux et situations historiques singulières », Revue française de science politique, , p. 105-116 (ISSN0035-2950).
↑Jean-Pierre Séréni, « L’histoire de l’Algérie au miroir des chercheurs étrangers », Le Monde diplomatique, (ISSN0026-9395, lire en ligne).
↑(en) James McDougall et Robert P. Parks, « Locating social analysis in the Maghrib », Journal of North African Studies, , p. 631-638 (ISSN1362-9387).