Denis Dumar est devenu un chef d'orchestre renommé, comme François, son père. L'un et l'autre se ressemblent beaucoup mais ne parviennent pas à communiquer, d'autant que leur travail les met en concurrence.
Un jour, La Scala de Milan informe François qu'il a été choisi pour diriger son orchestre. C'est la consécration. Mais rapidement, le célèbre opéra convoque Denis et lui révèle sa méprise : c'est lui, Dumar fils qui a été choisi en réalité, pas Dumar père.
Denis Dumar, qui a toujours rêvé de diriger La Scala, hésite à annoncer la nouvelle. Dans le même temps, ses proches insistent pour qu'il s'émancipe du poids paternel et prenne enfin ses fonctions.
Fiche technique
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Le film est une coproduction de Vendôme films, Orange Studio, Apollo films et Belga Productions, réalisée avec la participation d'OCS et de Canal+, avec le soutien du tax Shelter du gouvernement fédéral de Belgique via le Belga Film Fund.
Tournage
Le tournage a eu lieu dans la région Île-de-France durant 6 semaines (mars-), avec des scènes tournées à l'Opéra-Comique de Paris[1].
Accueil
Accueil critique
En France, le site Allociné donne la note de 3⁄5, après avoir recensé 15 critiques de presse[2].
Box-office
Pour son premier jour d'exploitation en France, Maestro(s) a réalisé 22 354 entrées, dont 8 847 en avant-première, pour un total de 1 684 séances proposées[3]. En comptant l’ensemble des billets vendus à ce premier jour, le film se positionne en troisième place du box-office des nouveautés pour leur journée de démarrage, derrière Le Royaume des étoiles (61 466) et devant Nos frangins (11 058)[4].
Au bout d’une première semaine d’exploitation dans les salles françaises, le long-métrage totalise 111 837 entrées, pour une quatrième place au box-office, derrière Black Panther : Wakanda Forever (137 244) et devant Simone, le voyage du siècle (79 710)[5]. En semaine 2, le film réalise 64 856 entrées supplémentaires pour une septième place au box-office, derrière Enzo Le croco (100 753) et devant le biopic sur Simone Veil (62 601)[6].