Très proche des milieux artistiques parisiens, les créations de style abstrait de Madame Agnès étaient uniques[5].
Elle est connue pour couper le bord des chapeaux à même la tête de ses clientes[6].
Dans le courant de l’année 1946, elle crée un béret beige en feutre qui comporte une ligne cassée juste au-dessus du sourcil droit, où une plume est insérée[7].
↑La Revue de Paris 1934 Page 470 "Une modiste en renom, madame Agnès, une de ces artisanes qui, elles aussi, continuent des traditions qui remontent loin et ne se perdent quand même pas, et qui sont vaillantes et qui, tout en chiffonnant la coiffe d'un chapeau, pensent à ..."
↑Paris en guerre, 1939–1944 -François de Lannoy, Ronald McNair, Georges Bernage – 1994 Page 355 "Voici quelques modèles de chapeaux présentés par les couturiers parisiens en 1941. (1) (2) Deux chapeaux présentés par « Madame Agnès » (rue Saint-Honoré).
↑. H.-G. Pflaum, un historien du XXe siècle: Ségolène Demougin – 2006 – Page 14 "Certes, la « griffe Vallin » n'ambitionnait pas de concurrencer celles de « Madame Agnès » ou de « Madame Paulette », modistes parisiennes les plus célèbres de l'entre-deux-guerres; mais enfin, les chapeaux Vallin se vendaient bien en France, "