Elle commence son activité professionnelle en 1964 à l'âge de 16 ans avec le manga Pia no shōzō(ピアの肖像?) publié dans le Shōjo Friend, œuvre pour laquelle elle remporte le Prix Shinjin manga(新人漫画賞?) de Kōdansha[1].
Durant les années 70 et 80, elle travaille pour des éditeurs de manga qui sont désormais des classiques du genre[pertinence contestée] : Hime ga Iku et Ashita Kagayaku (pour lesquels elle recevra le prix Kodansha pour la culture[réf. nécessaire]), Kariudo no seiza en 1980 où elle recevra le prix Kodansha[réf. nécessaire] ainsi que de nombreuses séries historiques dont elle s'est aussi fait une spécialité[réf. souhaitée].
Toujours très active[Interprétation personnelle ?], elle est récompensée en 2006 par le ministère japonais de la culture et des sciences pour l'ensemble de son œuvre[3].
Boulimique de travail[réf. nécessaire], elle continue d'éditer régulièrement des œuvres liées notamment à l'histoire et fait partie de la Japan Cartoonist Association et du conseil pour la promotion de la politique culturelle[source insuffisante][4].
édition multilingue (1 livre + 1 DVD) : allemand (trad. originale Ulrike Roeckelein), anglais (trad. John McDonald & Tamami Sanbommatsu) et français (trad. Marc Combes)
[Toku 2015] (en) Masami Toku (dir.), « Profile and Interview with Machiko Satonaka », dans International Perspectives on Shojo and Shojo Manga : The Influence of Girl Culture, Routledge, (ISBN978-1-31761-075-5).