Après la révolution de 2011, il est accusé de servir, dans sa fonction, le Rassemblement constitutionnel démocratique, le parti dissous du président déchu, Zine el-Abidine Ben Ali. Il démissionne le [1],[4], expliquant que sa décision « émane du souci d'assurer la pérennité de l'action de l'union en cette période délicate, pour qu'elle continue d'assumer son rôle dans le cadre de la conciliation entre toutes les parties »[5]. Il est remplacé à titre temporaire le 5 février par Noureddine Ben Ayed.
Impliqué dans des affaires de corruption et de malversation, le juge d'instruction au tribunal de première instance de Tunis ordonne, le , son interdiction de quitter le territoire tunisien[4].
Le , il présente sa démission de l'Union maghrébine des agriculteurs, organisation qu'il présidait jusque-là[1].