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Lors de ses études, elle rédige un mémoire sur l'intersectionnalité et les femmes roms, notamment en mettant en avant leur précarité environnementale et l'exposition de ces populations à la pollution sur les terrains réservés à l'habitat temporaire[2]. Elle exerce la profession de travailleuse sociale.
Lors du congrès du parti qui suit la présidentielle, elle mène la motion "La Terre, nos luttes" alliant l'aile gauche du parti et entre dans son bureau exécutif après avoir obtenu 13% des sièges et s'être inclinée devant la liste de Marine Tondelier[5]. Elle devient alors co-porte-parole du parti, avec Sophie Bussière. Elle est ensuite investie par les écologistes pour les élections européennes de 2024 à la troisième place et devient l'une des cinq eurodéputés écologistes français à entrer au Parlement européen malgré un échec relatif du parti[6].