La virgule souscrite peut être utilisée sous n’importe quelle consonnes lorsqu’elle est palatalisée, excepté les lettres j et q ou les consonnes devant les voyelles ä, ǟ, i, ī, ö, ȫ, ü, ǖ[3].
Les lettres ḑ, ģ, ķ, ļ, ņ, ŗ sont représentées avec des caractères composés avec la cédille, mais ayant la forme de la virgule souscrite pour des raisons historiques dans une majorité de polices de caractères, du moins en letton pour ģ, ķ, ļ, ņ, ŗ et dans certains cas pour ḑ. Le p virgule souscrit ‹ P̦, p̒ › est représenté avec la virgule culbutée suscrite pour la minuscule, rappelant la forme de la cédille ou virgule de ģ. En théorie, les caractères avec la cédille pourrait être utilisés de manière générale : ‹ b̧, ḑ, ģ, ḩ, ķ, ļ, m̧, ņ, p̧, ŗ, ş, ţ, v̧, z̧ ›.
(en) Uldis Balodis, « Writing down Lutsi: Creating an orthography for a South Estonian variety of Latgale », Valodas sistēma un lietojums, vol. 6, (lire en ligne)
(vro + lv) Uldis Balodis, Lutsi kiele lementar = Ludzas igauņu valodas ābece, LU Lībiešu institūts un Ludzas pilsētas galvenā bibliotēka, (ISBN978-9934-23-160-5, lire en ligne)
(en) Uldis Balodis, « Lutsi speakers and rememberers in the late 20th and early 21st centuries », Eesti Ja Soome-Ugri Keeleteaduse Ajakiri, vol. 12, no 2, , p. 211–249 (DOI10.12697/jeful.2021.12.2.09, lire en ligne)