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Il suit la fin de sa scolarité au Lycée Leconte de Lisle à Saint-Denis dont il sort bachelier en 1940.
Engagé volontaire dans les Forces Françaises Libres le , il devient élève pilote à la RCAF (Royal Canadian Air Force) dont il sort breveté en .
Pilote militaire à la Royal Air Force jusqu'à la fin de la Seconde Guerre mondiale, puis dans l'armée de l'air française en Indochine.
Carrière civile
Il intègre la S.I.T.A. (Société Indochinoise des Transports Aériens[3]) en 1948.
Après le rachat de la S.I.T.A, il devient le premier pilote de ligne réunionnais à intégrer la compagnie Air France en 1950.
Il assure la première liaison directe Paris-Gillot via Djibouti à bord du Boeing 707 « Château de Dampierre » (Immatriculé F-BLCD) le . Dès l'atterrissage, la foule envahit la piste. Le Journal de l'Île de la Réunion titre alors "Joie et fierté à Gillot"[4], lors d'une inauguration qui célèbre aussi la nouvelle piste de Gillot, longue de 2 669 m, "pour jets intercontinentaux". La fierté des habitants se traduit aussi par la remise de la Croix de Chevalier de l'Ordre du Mérite au pilote réunionnais par Michel Debré, alors député de la Réunion et Ministre de l'Économie et des Finances.
Huit ans plus tard, il assure la liaison inaugurale Paris-Gillot via Nairobi en Boeing 747 le [5].
Le , le salon d'honneur de l'aéroport de Gillot prend son nom, lui rendant ainsi hommage.
À cette occasion, le Journal de l'Île de la Réunion titre, Lucien Duchemann, "pistard du ciel", premier pilote réunionnais d'Air France[6].
Il totalise plus de 23 000 heures de vol dont 700 à titre militaire.
Décorations
Titulaire de la Croix de Chevalier de l'Ordre National du Mérite, de la Croix de Guerre des Théâtres d'opérations extérieurs, de la médaille Coloniale, de la médaille d'Afrique Noire, de la médaille de l'Aéronautique, de la Médaille d'honneur de l'Aéronautique vermeil