Motif : Toutes les sources (primaires) émanant du diocèse de Montauban se sont évaporées. Maintenance à venir (et ménage dans ce qui n'est pas/plus sourçable)
De 1924 à 1928, il est vicaire à Notre-Dame de la Daurade à Toulouse puis à la cathédrale Saint-Étienne.
En 1929, il devient secrétaire puis directeur des œuvres diocésaines.
Nommé évêque auxiliaire de Toulouse, au siège titulaire de Chrysopolis-en-Macédoine(de), le , il est sacré le suivant en la cathédrale de Toulouse.
En remplacement de Saliège, infirme, il est convoqué le par le préfet, Léopold Chéneaux de Leyritz, qui l'informe de l'annulation de la diffusion de la lettre du cardinal, où il condamnait la déportation des Juifs. De Courrèges refuse et le lendemain, la lettre du cardinal est lue en chaire par la quasi-totalité des curés du diocèse[réf. nécessaire][2].
En relation avec Georges Garel et le Réseau Garel, il est l'un des moteurs de l'OSE dans la Haute-Garonne, permettant de sauver un grand nombre d'enfants juifs dans les centres de la colonie Sainte-Germaine, en particulier à Vendine, dans le Lauragais. Ce qui lui vaudra la reconnaissance de Juste parmi les nations[3].
Le 10 avril 1947, il est décoré de la légion d'honneur par Jacques Maritain, alors ambassadeur de France près le Vatican.
Durant toute la période du concile Vatican II, d' à , Courrèges publie une quarantaine de lettres à ses diocésains dans les numéros du Bulletin catholique de Montauban[4].
En 1974, il est nommé évêque de Montauban, évêque émérite de Cuma, il y restera jusqu'en 1970 avant de revenir à Toulouse ou il exercera un ministère jusqu'à sa mort en 1979.
Jean Claude Meyer, Deux destins toulousains. Cardinal Jules Géraud Saliège. Mgr Louis de Courrèges d’Ustou, Les Plans-sur-Bex, Parole et silence, , 191 p. (lire en ligne)