Après avoir pris part à la Première Guerre mondiale, il est à nouveau mobilisé en 1939, à 55 ans. Il est fait prisonnier par l'armée allemande puis libéré en qualité d'ancien combattant de la guerre de 14-18. Il entre dans le mouvement de résistance « Les Ardents » en 1942, où il est responsable de la gestion des gardes chargés de la surveillance des voies ferrées. Sa connaissance des voies de communication (notamment les conduites d'eau souterraines de la Vanne et de Rungis) est extrêmement bonne, et il l'exploite pour y entreposer le contenu des parachutages reçus.
Le , il est tué par une patrouille allemande alors qu'il cherche à rejoindre les combattants de la Préfecture de police afin de les soutenir dans les combats pour la Libération de Paris.