Il ne prit séance que vers le mois de septembre 1848; s'étant rangé parmi les modérés, partisans du général Eugène Cavaignac. Il vote contre la proposition Rateau et pour la mise en accusation du président Louis-Napoléon Bonaparte et de ses ministres.
Adversaire déclaré de Louis-Napoléon Bonaparte, s'était sensiblement rapproché de la gauche dans les questions où la personne du président se trouvait en cause, il n'est pas réélu à l’assemblée législative lors des Élections législatives de 1849.