textuelles (mentions littéraires, descriptions d'historiens et de géographes[4], listes épiscopales, etc.) ;
géographiques (routiers[5] et itinéraires[6], cartes[7], etc.).
Noms latins et noms correspondants
Les noms de la période française sont indiqués afin de permettre les correspondances avec les ouvrages archéologiques antérieurs à l'indépendance de l'Algérie.
Appelé « port aux pèlerins » par les Algériens, vient peut-être d’une traduction erronée due à la proximité phonétique entre « al hadjadj » (pèlerin) et « al djadj » (poule), une autre hypothèse fait état de la déformation du nom romain « Portus Paulus » (Port de Paul)[9]
↑Didier Marcotte (Géographes grecs, Paris, 2000, p. X) rappel qu'un commentaire véritablement moderne aux auteurs de descriptions régionales, de circuits [...], de portulans [...], doit faire l'écho des acquis de l'investigation sur le terrain. On retrouve ce débat détaillé, entre autres, dans les différents Atlas archéologiques régionaux et nationaux (voir la liste de cartes archéologiques de la BiAA et Rodier 2006). Un bon point de départ philologique peut être de consulter l'article correspondant au toponyme dans la (de) Paulys Realencyclopädie der classischen Altertumswissenschaft, en dépit de son ancienneté.
↑Pour l'Afrique du Nord, par exemple, on ajoute aux sources latine celles lybiques (puis berbères), puniques, grecques (puis byzantines), et arabes. J. Desanges en 2005 (voir bibliographie, p. 19) note que "plusieurs centaines de toponymes sont bien localisés" dans le maghreb antique. À propos de la typologie des sources, voir Patrick Counillon, La géographie grecque et la guerre [Présentation des grandes étapes de l'histoire de la Géographie grecque. Introduction au master], Bordeaux, sept. 2007 (pdf « en ligne »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?)).